Cromimi - Erstes freies virtuelles Haustier Spiel online

Poème pour toute la bande d'écrivain : T-miss, ninqueen, lolobauls, xlalou, hémisphère32 :

J'aime vos poème, vos histoire
Je les lis presque chaque soir
Avec tristesse ou avec joie
Courte ou longue
Sa fait partie de moi


♥♥♥

Le chant des sirène : Chapitre 2 : La mer  Bonne lecture !

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Chapitre 1 : Le jour gris

Les cloches sonnèrent du haut de la montagne de Tokyo. Ce n'était point pour annoncer une union, met un décès.Je n'arrive pas a y croire, pas lui, il était le meilleur, et le seul. Mon grand-père 77 ans mort dans son lit la nuit dernière. Mes sœurs et moi même n’arrivons à y croire. Sous le choc, la cadette de mes sœurs s'enfuit en larme vers le lac. J'allais la suivre mais une main m’arrêta je me tourna vers ma sœur qui me tenais elle était rouge à cause des pleures. Elle me dit :
- Laisse là. Elle doit être seul.
Elle n'avais presque plus de voie. Puis la cadette de mes sœurs revint et pria avec nous. Vint une sorte de cérémonie on chacune de nous devais récupérer se que grand-père nous à donner après sa mort. Chacune de nous reçut une somme d'argent 129 862 yens (1 000€). Puis chacune de nous reçut une maison. Pour la cadette se fut une petite maison bleu dans une des grandes forêt de Tokyo. Quand à moi, l'ainée, se fut une demeure au bord de la mer. Chacune de nous regarda une dernière fois grand-père. Puis l'heur arriva grand-père était enterrer dans un petit cimetière nous loin de China-China. Au bout de quelque heure, chacune de nous s'aprettaient à partir voir à quoi ressemblais notre maison. Nous nous fîmes un gros câlin prêtant serment de nous retrouver demain, au cimetière de grand-père vers 14h.

J'avançais péniblement. La marche vers la maison de grand-père fut longue. Mais j'avançais, revoyant des images de lui, dans ma tête. Non ! Je ne voulais pas l'oublier et non ! je ne l'oublierais pas. La colère prenais le dessus. Je me calma. Je pouvais distinguer la mer au loin. Je couru et, vu la maison bleu :
- Ces à sa que ressemble ma maison ? Elle est magnifique !
A ces mot je sortie la clef de la poche de ma robe noir. J'ouvris doucement la porte de peur. Puis j’enlevais mes chaussures et posa mon pied sur le sol glacer. A ma grande surprise la maison était propre je pris une lampe à huile poser à coter de moi et l'alluma. Je me dirigea vers une fenêtre et tira les rideau afin d'y voir clair une fois le salon éclairer j’examinai la pièce regardant chaque petit détaille :
- Grand-père... dis-je tout bas
Je le sentais près de moi. Je ferma mes yeux. Respirant son odeur mélanger à l'air marin. Je fit ensuite le tour de la petite maison ouvrant les fenêtres. J'entrais dans une pièce, certainement son bureau. Une lettre était poser, et sous la lettre un livre écrit par lui en personne. Ce livre parlais des sirènes :
- Certainement un conte, je le lirais ce soir !
Puis j’aménageai toute mes affaires et nettoyant de fond en comble la maison. Une fois fini je m'assis sur mon divan pour me reposer.

Au bout de quelques heures une brise légère me réveilla. Je montais les marches en bois pour arriver dans l'ancien bureau de grand-père. Je pris le livre et la lettre et decendit dans la cuisine j'ouvris la lettre, une lettre qui mettais destiner :
- Chère Haru, lorsque tu lira cette lettre je serais mort. Ne cherche pas car tu trouvera bientôt pourquoi je suis mort les réponses à tes questions sont dans le livre de sirène que j'ai écrit.

Je m’arrêta un instant. Comment sa les réponses à mes questions. Cette mort était un suicide, un meurtre ?
J'ouvris le livre avec hésitation. Je lu le premier paragraphe,puis tout un chapitre. Met rien ne m'aidais c'était floue, vague et encore les mots son faible ! Je pensa quelque minute :
- Mon grand-père est devenue fous ? Les sirènes n'existent pas !
Mais je me calma, se n'est pas bien de parler sur les gens surtout lorsqu'il sont morts ! Donc je réfléchi a une explication. Peu être qu'il sais fait tué ? Non ! Sa ne tenais pas debout mon grand-père ne parlais à personne, et il restais à chaque fois chez lui. De plus son corps était sans blessure ni rien. Sa ne pouvais pas être un suicide non plus, aucune arme,corde ou autre seulement des couteaux de cuisine ! C'était bizarre, mais ... Je continua les autres chapitres du livre pour trouver mes "réponses".

Chapitre 2 : La mer.

Je me réveilla brusquement dans la cuisine le livre fermer :
- J'ai dormis ...
Je monta pour prendre une bonne douche. Je monta "au que la terre est basse" pensais-je ! Arriver en haut je me dirigea vers la salle de bain, et ouvris le robinais pour attendre l'eau chaude, mais aucune eau ne sortais. Alors je pris ma serviette et une tenue facile à mettre et sortie dehors.

Comme j'habitais juste en face de la mer je chercherais un coin d'eau entre deux rocher pour mis baigner. Je décendis une dune de sable fin, le sable était chaud mais pas brûlant et qu'il fessais bon ! Je regarda à droite puis à gauche et j'aperçus un p'tit coin à l'abri des regards et même si j'avais un maillot ce n'était pas une raison. Quelle chance l'eau était douce ce n'était pas de l'eau salée ! Je regarda au fond voir si il y avais des bêtes, je viras quelque petit crabe et mis glissa.

Une fois fini je m'essuya avec ma serviette bleu marine, et mis ma petite robe verte à fleur. Je marcha sur le sable toucha l'eau avec mes pieds. Au bout d'un certain temps je pensais à renter je couru et ma cogna contre quelque chose de dur :
- Oh ma tête ! dis cette chose dur
J'ouvris les yeux, j'étais tomber sur un jeune garçon âgée de 20 ans peu être :
- Désoler je ...
- Oh ce n'est rien mais où courez vous comme sa ?
- Heu chez moi, ces la maison bleu là bas !
Je pointa mon doigt pour lui montrer. Il me raccompagna. Il me parlais de sa famille sa vie ou autre chose comme sa ...

- Merci de m'avoir déposer passez une bonne journée !
- Appelez moi Nathian !
-Heu ... d'accord !
Je rentra vite chez moi, déposa mes chaussure sur la petite étagère et me précipita dans le bureau de grand-père pour voir si il m'a laisser autre chose.

Je chercha chercha met rien,rien d'autre qu'un livre et une lettre ! Sa ne m'aide pas vraiment alors je relus le livre. Au chapitre 15 du livre une page était coller à une autre. Je pris un couteau et sépara les deux feuilles je lu cette page :
" Si vous allez dans l'eau, et que vous criez : sirène,sirène ! elle viendront et vous emmènerons toute fois,rester vigilant !

Je pris ma combinaison et alla direction la mer. Je plongea et cria 3 fois :
- Sirène, sirène !
Rien ne se produisis je comptais rentrer quand qu'elle que chose attrapa ma cheville et tira dans l'eau j’eus à peine le temps de dire :
- Auuuuu secouuuure !!!!!
La chose démoniaque me tirai dans l'eau. Une fois dans l'eau le sombre et la lumière se mélangèrent aux corail je voyais floue. Et brusquement je tomba dans les pommes.
Nathian plongea à toute vitesse et me récupéras. Je sentais ses lèvres sur les mienne, je me réveilla en sursaut.

Dernière modification par katty2 (Le 07-07-2013 à 13h04)

Kikouuuu la petite troupe !!! :3 ♥

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Chapitre 5

  Je re-poste pour Lolobauls ^^' Ça doit être un bug

Sinon, ma tournée :

Katty2 : Merci beaucoup ! *-* (Oui, c'est bien vrai xD Mais des fois, ça m'arrive à_à)
Par contre, tu n'aurais pas dû supprimer tes posts 
→ J'aime beaucoup ton histoire ! ^-^ Très bien décrite !
Sinon, il y'a beaucoup de fautes de temps, essaye de les corriger *-* Dans le chapitre 2, je trouve que c'est passé un peu trop vite, la scène avec la sirène ^^'
Ensuite, je ne sais pas trop mais Haru ne devait pas aller au cimetière à 14h le lendemain ? Est-ce que cela est déjà passé ou ce n'est pas encore arrivé ?
Voilà, sinon, j'adore ;D
→ Trop mimi ton poème ^_^
Nolwennlabelle1 : Je la connais aussi è.è Je ne peux pas supporter le plagiat, je trouve ça immonde...=-=
L'autre poème est très beau, néanmoins, bien qu'il ne vienne pas de toi. ♥
Misscapu-cla  : Ne le prends pas mal, elle a raison ! De toute façon, on ne t'a pas obligé à ne pas le créer, on t'a juste prévenu qu'il serait supprimé en deux temps trois mouvement ^^'
Moi, je suis d'accord pour t'écrire la suite Envoie-moi les chapitres précédents par MP, merci. ♥
brooklin13  : Je trouve le principe pas mal, quoique pas trop original :3 (à part pour les motos). Moi, j'aime bien ! Mais n'oublie pas que c'est ton histoire, tu dois l'inventer toi-même ! ;D Commence à l'écrire ! ♥-♥
Capucine207  : J'aime bien ! ☻☺

Voilà, tchuss tout le monde !!!!! ♥ ;D
xLalou

Dernière modification par xLalou (Le 08-07-2013 à 12h28)

Xlalou: Merci! C'est une histoire qui met arrivé! Juste pour le premier chapitre. Après le reste j'ai inventé.


                                         Alexandra et les motards

Chapitre 1: La proposition.

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Je m'appelle Alexandra et j'ai 13 ans. Je vais au collège Onetle school.
Aujourd'hui on est jeudi, et c'est l'avant dernier jour avant les vacances. Il reste deux jours d'écoles et je n'ai toujours pas avoué mes sentiments à Alexis. Alexis, c'est la plus beau garçon du collège. Il fait de la moto...

Pendant que je suis en train de rêver, mes deux meilleurs amis, Jérémie et Amélie, accourent vers moi:
-Salut Alex! disent-ils en coeur.
-Salut! répondis-je.
-Encore en train de rêver sur Alexis? Me demande Jérémie.
-Oui!! Il est tellement beau! M'exclamais-je avec des étoiles dans les yeux
-Tes chances de séduire Alexis sont de.... 1 sur 1000! Me dit Amélie.
-Ouais je sais mais ça m'empêche pas de rêver sur lui quand même!
-Bon revenons à mon idées de départ: Tu veux venir avec moi voir mon frère faire de la moto?Me demande Amélie. On y va en camping-car.
-Oui! J'adorerais.
-Ok alors à ce soir pour demander à ta mère!
-Ok.
Alexis et moi échangeons un regard puis je suis partie en cours.
Arrivée en cours, notre professeur principale Madame Le pic nous annonce qu'il n'y aura pas cours demain. Tout le monde à sauté de joie. Un jour plus tôt en vacances c'est super! Un jour en plus tôt sans voir Alexis c'est moins super...
-Super! Vu que j'ai une course samedi je pourrais m'entraîner demain!

Quand je suis rentrée chez moi, j'ai sauté sur ma mère pour savoir si je pourrais aller en camping-car avec Amélie.
-Oui bien sur! Prépare ton sac.
On a couru vers ma chambre pour faire mon sac.
-Eh! Amélie! Tu t'en vas qu'une semaine! Tu déménage pas!
-Oui tu as raison...
Après 1heure, j'avais réussi à prendre ce qu'il fallait.
Le portable d'Amélie sonna:
-Chérie? dit sa mère, tu rentres.
-Ok j'arrive.
Elle me dit au revoir puis elle est partie.
Je me suis couchée à 20h00 pour être à demain.
Le lendemain, je me suis habillée puis je suis restée à ne rien faire sur mon lit. Je pensais à Alexis...
J'ai fait une longue sieste car le temps passe plus vite quand on dort. Quand je me suis réveillée, il était 19h00. J'ai mangé puis je suis partie me couchée.
Je n'avais pas sommeil mais je me suis endormis quand même.
Quand je me réveillée, il était... 10h00! Je devais être prête pour 11h00! Avec ma chevelure rebelle est mes affaires qui ne tenais plus dans le sac, j'ai bien faillit être en retard.
À 11h pile, Amélie était là. J'ai dis au revoir à ma mère puis à mon père et j'ai couru vers le camping-car.
Pendant le trajet, Amélie et son frère Maxime n'ont pas arrêté de dire: "Alexandra plus quelqu'un!"
Quand le camping-car c'est arrêté, j'ai couru pour descendre. À ma grande surprise, Alexis était là, en train de discuter avec Maxime.
Il m'a regardé puis je suis remontée dans le camping-car en entrainant Amélie avec moi.

le conte du pêcheur et du petit poisson d'or ; bonne lecture !

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Un vieux pêcheur et sa vieille vivent dans une pauvre cabane au bord de la mer. Un jour, le vieux, après plusieurs tentatives infructueuses, ramène dans son filet un petit poisson d'or, qui s'adresse à lui d'une voix humaine et le prie de le rejeter à la mer, lui promettant en échange d'exaucer tous ses souhaits. Le vieux le libère sans rien exiger. Rentré chez lui, il raconte l'histoire à sa femme, qui le traite d'imbécile3 et lui dit d'aller demander au poisson un nouveau baquet à lessive4, en remplacement du leur qui est brisé.

Le vieux s'exécute et, retourné au bord de la mer, appelle respectueusement le petit poisson, qui apparaît et lui demande ce qu'il veut. Mis au courant de la demande de la vieille, il assure le vieux qu'ils auront un baquet neuf : c'est ce qui se produit. Mais à nouveau la vieille critique violemment son mari et le renvoie vers le petit poisson, pour réclamer cette fois une isba. Le vieux s'exécute. Le petit poisson, surgi d'une mer déjà moins tranquille, exauce le vœu : rentrant chez lui, le vieux découvre une belle isba à la place de la cabane. Mais la vieille, toujours insatisfaite, réclame désormais d'être noble. Le petit poisson leur accorde un riche terem (maison russe), où règne la vieille, entourée de serviteurs, et traitant son mari comme un domestique. (À chaque fois que le vieux, de plus en plus embarrassé, repart à la rencontre du petit poisson, la mer se fait de plus en plus agitée, puis sombre et menaçante).

La vieille obtient ensuite d'être tsarine dans un palais, mais cela ne lui suffit toujours pas : elle veut désormais être souveraine de la mer, et que le petit poisson lui-même soit à ses ordres. Devant une mer déchaînée, le vieux, malheureux, énonce ces exigences exorbitantes : mais cette fois, le petit poisson, sans dire un mot, d'un battement de queue disparaît dans les ondes.

Voyant qu'il n'obtient pas de réponse, le vieux finit par rentrer chez lui : à la place du palais, de la tsarine et des serviteurs, il retrouve leur pauvre cabane, sa vieille assise sur le seuil, et devant elle, le baquet à lessive brisé.

désolé pour le double poste

qu'en pensez vous?

1:génial:D
2;pas mal:|
3:nul=(

merci pour votre avis !

xlalou mais ton histoire est superbe

xlalou : Et non, justement elle a oublier d'aller au cimetière mais sa normalement on le découvre dans le chapitre 3 ^^"
Et justement le moment avec la sirène à été très très prompt ! (rapide) alors ces pour sa que je décrit moins ces en français qu'on à appris sa !


capucine207 : 1 Ces génial mais il y a beaucoup de fautes d'orthographes et quelque fois tes mot ne veulent rien dire ... Mais on comprend !

Dernière modification par katty2 (Le 07-07-2013 à 15h34)

votre troupe c'est superbe

brooklin13 a écrit :

Xlalou: Merci! C'est une histoire qui met arrivé! Juste pour le premier chapitre. Après le reste j'ai inventé.


                                         Alexandra et les motards

Chapitre 1: La proposition.

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Je m'appelle Alexandra et j'ai 13 ans. Je vais au collège Onetle school.
Aujourd'hui on est jeudi, et c'est l'avant dernier jour avant les vacances. Il reste deux jours d'écoles et je n'ai toujours pas avoué mes sentiments à Alexis. Alexis, c'est la plus beau garçon du collège. Il fait de la moto...

Pendant que je suis en train de rêver, mes deux meilleurs amis, Jérémie et Amélie, accourent vers moi:
-Salut Alex! disent-ils en coeur.
-Salut! répondis-je.
-Encore en train de rêver sur Alexis? Me demande Jérémie.
-Oui!! Il est tellement beau! M'exclamais-je avec des étoiles dans les yeux
-Tes chances de séduire Alexis sont de.... 1 sur 1000! Me dit Amélie.
-Ouais je sais mais ça m'empêche pas de rêver sur lui quand même!
-Bon revenons à mon idées de départ: Tu veux venir avec moi voir mon frère faire de la moto?Me demande Amélie. On y va en camping-car.
-Oui! J'adorerais.
-Ok alors à ce soir pour demander à ta mère!
-Ok.
Alexis et moi échangeons un regard puis je suis partie en cours.
Arrivée en cours, notre professeur principale Madame Le pic nous annonce qu'il n'y aura pas cours demain. Tout le monde à sauté de joie. Un jour plus tôt en vacances c'est super! Un jour en plus tôt sans voir Alexis c'est moins super...
-Super! Vu que j'ai une course samedi je pourrais m'entraîner demain!

Quand je suis rentrée chez moi, j'ai sauté sur ma mère pour savoir si je pourrais aller en camping-car avec Amélie.
-Oui bien sur! Prépare ton sac.
On a couru vers ma chambre pour faire mon sac.
-Eh! Amélie! Tu t'en vas qu'une semaine! Tu déménage pas!
-Oui tu as raison...
Après 1heure, j'avais réussi à prendre ce qu'il fallait.
Le portable d'Amélie sonna:
-Chérie? dit sa mère, tu rentres.
-Ok j'arrive.
Elle me dit au revoir puis elle est partie.
Je me suis couchée à 20h00 pour être à demain.
Le lendemain, je me suis habillée puis je suis restée à ne rien faire sur mon lit. Je pensais à Alexis...
J'ai fait une longue sieste car le temps passe plus vite quand on dort. Quand je me suis réveillée, il était 19h00. J'ai mangé puis je suis partie me couchée.
Je n'avais pas sommeil mais je me suis endormis quand même.
Quand je me réveillée, il était... 10h00! Je devais être prête pour 11h00! Avec ma chevelure rebelle est mes affaires qui ne tenais plus dans le sac, j'ai bien faillit être en retard.
À 11h pile, Amélie était là. J'ai dis au revoir à ma mère puis à mon père et j'ai couru vers le camping-car.
Pendant le trajet, Amélie et son frère Maxime n'ont pas arrêté de dire: "Alexandra plus quelqu'un!"
Quand le camping-car c'est arrêté, j'ai couru pour descendre. À ma grande surprise, Alexis était là, en train de discuter avec Maxime.
Il m'a regardé puis je suis remontée dans le camping-car en entrainant Amélie avec moi.

J'espère que ça vous à plu!
Si ça à du succès, je continuerais.

Bonjour!

Brooklin'  j'aime bien, mais je trouve que c'est super précipité. Tu ne décris pas assez de choses. L'histoire prend fin trop vite. Tu devrais la renchérir de mots. Tu n'es pas en classe, tes textes peuvent être aussi longs que tu le souhaites .

Capucine' Tu flood trop, de plus, ta signature est trop grande, met la sous spoiler ou change la!

Voici un texte véridique :

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Lettre à lui:
Je me souviens, comme tout à l'heure, comme tous les moments uniques, quand tu m'envoyais tes baisers en l'air, tes sourires et tes clins d'oeil. Ces souvenir me hantent aujourd'hui, et je crois qu'il me poursuivront pour toujours. Jamais je n'oublierai ta méchanceté, quand tu te moques de tout ce que je dis, quand tu répètes que tu es trop beau pour ne pas être apprécié. Je te répéterai que l'habit ne fait pas le moine et que tu ne mérite l'amour de personne.
Tu disais que tu pouvais me toucher, mais pourquoi? Pourquoi en aurais-tu le droit quand d'autres le veulent par amour? Tu ne coutes rien, plus rien maintenant. Je suis déçu de savoir qu'il y a encore des gens dans ce monde qui se détériorent à la même vitesse que celui-ci. La prochaine fois que tu t'approchera, tu ne sera prit en pitié.

Dernière modification par za3ma (Le 07-07-2013 à 17h16)

Bonjouur.

J'ai pas pu répondre de suite aux commentaires :$ Sorry...

Donc :

Merci beaucoup pour ceux qui m'ont dit que ma chanson étais belle. ♥

Ma chanson je la chante sur l'air de Léa Castel : Pressée de Vivre.

Pour le titre, j'avais rien d'autre en tête :$

Kisouilles & Bonne chance. ♥ & Tous vos textes sont magnifiques *-*

Promis je reposte dans la semaine une autre chanson ♥

Dernière modification par Kaahyna (Le 07-07-2013 à 22h12)

Za3ma: Ce n'est que le premier chapitre. Je prend en compte tes conseils et je vais rédiger tout ça sur une feuille!
Merci!

J'écris de plus en plus en ce moment ^^
Une nouvelle partie du journal de Valentine Brooks !

1er Novembre 1995, 13H43
Cher Journal,
Ma mère n'est pas revenue et du coup j'angoisse. Je sais que j'ai ps été sympa avec elle la dernière fois que je t'aie écris (d’ailleurs, je n'ai été sympa avec personne...)
Qu'est ce qui a pu lui arriver ? J'ai peur pour elle.
Non, je ne veux pas qu'elle meurt, je tiens trop à elle. Elle est mes petits moments de douceurs, elle est la tendresse que je n'aurais plus jamais sans elle, et dont je n'ai pas souvent eut le droit. Grâce a elle, j'ai 8 ans et la maturité d'une fille de 12 ans. Ça se voit peut-être a ma façon d'écrire qui a bien changer depuis le début de mon journal...

4 Novembre 1995, 9H27
Cher Journal,
J'ai risqué ma vie a demander a ce qui me sert de père où était ma mère. Il m'a répondu froidement que je ne a reverrait pas de sitôt. J'ai craquer,. Je lui ai dit qu'il n'avait qu'a me dire si il l'avait tué, que je pourrais me taire comme toutes les « merveilleuses » année qu'il m'a fait subir et tout ça d'une violence tel que mon père est resté pétrifié devant moi comme lorsque je vois son reflet derrière le mien.
Donc, j'ai été capable d'effrayer mon père ? Celui qui me percute depuis mon plus jeune âge ? Tout porte a croire que oui, mais cela ne l'a pas stopper dans ces coups. Il me frappe encore et toujours mais en me fuyant du regard. Comme si il redoutait mes yeux, comme si il ne voulait plus me regarder en face
Ça peut paraître sadique, mais ça me plaît tout ça. Je suis heureuse qu'il me craigne. On échange enfin les rôles (même si c'est toujours moi que me prends les coups)...

Re Bonjour :3

J'en ai une en tête et j'ai besoin d'un avis :$ ♥


Un sourire d'enfant.

Couplet I :

Les sourires de ces enfants,
Qui se perdent,
Au pays des éléphants.
Eux qui veulent que leurs espoirs,
Ne disparaissent pas dans le désespoir...

Un sourire d'enfant qui nous fait faire... Un pas en avant !


Refrain : 

Vous qui êtes si nombreux à ne pas vivre heureux,
Vous qui vivez tout là-bas,
Loin de nous, a Kinshasa...

Couplet II : 

Ils s'amusent dans la danse,
Pour oublier toutes leurs souffrances.
Ils s'allongent dans les dunes,
Pour simplement regarder la lune.

Un sourire d'enfant qui nous fait faire... Un pas en avant !


Refrain : 

Vous qui êtes si nombreux à ne pas vivre heureux,
Vous qui vivez tout là-bas,
Loin de nous, au Sahara...


Couplet III : 

Et le sage du village,
Le Grio rassemble alors tous les âges,
Il leur raconte des histoires,
De leurs pays, des Côtes-d'Ivoires.

Un sourire d'enfant qui nous fait faire... Un pas en avant !


Refrain Final :

Vous qui êtes si nombreux a pouvoir vivre heureux,
Vous qui vivez comme moi, sans hésiter tendez les bras !
Nous qui sommes si nombreux,
Oui nous pouvons tel'ment pour eux.
Offrons donc par le partage,
Un AVENIR aux enfants de nos âges !

Bon ben voilà Fini :3 Des avis ?! ♥

Et sinon pour ceux qui veulent je peux poster une chanson en Espagnol dans la semaine ^^ Avec la traduction, bien sûr.

Coucou les amis!

Kaahyna: Je trouve ça génial. Le truc que je trouve bizarre c'est la rime avec les enfants et au pays des éléphants... :3 Sinon c'est super! Je pense que la chanson en Espagnol sera aussi génial!

Je travaille beaucoup pour améliorer le premier chapitre de Alexandra et les motards et je commence à écrire le deuxième! Si tout ce passe bien, Vous aurez le premier chapitre améliorer et le deuxième aujourd'hui ou ce soir!

Dernière modification par brooklin13 (Le 08-07-2013 à 09h47)

Bonjour !

Merci et oui je sais mais... Bon les enfants sont rêveurs, non ? ^^

Et je pense que je vais me mettre au théâtre, ou au roman. [ Conseil de prof :$ ]

Kisouilles les Crominettes ! ♥

Salut ! Hanw sa fait du bien de voir une nouvelle édition de ce topic que j'ai tant apprécier ! Je me lance dans une fiction... A vos yeux mes chers lecteurs bien aimé ! Tout d'abord veuillez respectez les règles si vous voulez commentez cette fic' ! Mercii :3 !

PREVENUS:

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1 personne, merci !
. Misscapu-cla

Maintenant, place à la lecture les éleveurs et éleveuses ! PS/ je tiens à préciser qu'il y a un nombre multiples de fautes d'orthographe, veuillez ne pas y faire attention :x

PROLOGUE:

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Assise dans les pâquerettes fanées de la forêt que j'avais imaginé avec pour seul bricole mon cerveau, je me sentais comme un poisson dans l'eau. Je me consolais tout les soirs sur ce vaste monde. Mais un esprit m'a siffler qu'une nuit ou l'autre, je n'allais plus pouvoir sortir de ce monde paradisiaque. Et pourquoi pas rester endormis jusqu'à la fin ?Ce n'est qu'un rêve, rien n'est vraiment solide, Jasmine, arrête d'essayer de t'enfermer dans ce monde de danger.. Tu es beaucoup trop rêveuse, un jour, tu ne seras plus de notre vrai monde, veux-tu vraiment cela ? m'a t-il dit d'un ton sombre. Il ne comprend pas pourquoi je veux rester dans ce rêve, mais je m'en contre-fiche. Je continuerais à rêver jusqu'à ce que je m'en lasse.
Un grondement bruyant me suffit pour faire tomber mes pensées. Je pris mes jumelles d'un blanc pâle et j'observais autour de moi ce qui pouvait être ce bruit.. Je finis par me relever. Qu'était ce grondement bruyant qui se faisait entendre trois kilomètre à la ronde ? Je me retournai et fit face à un petit ourson d'à peine quelques centimètre et je me baissai pour le recueillir. Je fis apparaître un verre d'eau fraîche et clair et l'avala sec puis en donna à ce que j'appela Pimpon, l'ourson que je vennait d'arracher de sa famille, ami et de son environnement familier..

    - Comment peux-tu être aussi égoïste en vers cette créature ?

Je me retournai vivement à l'écoute de cette voix qui me fit mal, mais qui m'était horriblement commune. Deviens-je aussi égoïste que me l'a fredonné cette énigmatique voix ? Il n'y a absolument rien, ni personne autour de moi. Je marchai donc vers une étroite clairière où déposer Pimpon, je dois simplement entendre des voix, vu ma fatigue, ce n'est ni rien d'étonnant ni rien de grave.

    - Mais je ne te pense pas totalement comme cela.

•••

Un hurlement. Un hurlement perçant. Et un pas décidé d'une "chose" de taille moyenne, laissant traîner derrière elle une légère poussière blanche. Je n'ose même pas balancer un seul de mes orteils. Je n'ai jamais pu rien imaginé de tel, jamais je n'aurais osé déranger mon esprit qui gardait mon abris. Alors quelles sont ces créatures qui sont en train de salir ma belle forêt en crachant leur nuage de fumée ? Quel son ses plantes sans âme avançant d'un pas maladroit vers moi pour surement me détruire ?
Je suis trop rêveuse, l'esprit avait raison, pourquoi ne l'ai-je pas écouter ? J'ai désobéïs. Où vais-je m'enfuir ? Que vais-je faire pour continuer à vivre ? Trop de questions qui désordonne mon esprit qui avait crée tout ces malheurs..

L'ambiance est devenue soudainement morose. Je regarde, faible, mon propre rêve se transformer en chaos total. Je ne peux plus rien faire. Le sol s'envole sous moi. J'ai voulu me réveiller, mais j'ai perdu l'équilibre de mes pensées et je suis tombée dans un vide, probablement infini, avant de pouvoir partir.

C'est seulement... un rêve... Je vais m'en sortir...

Ah oui, j'ai oublié de le préciser. Je vais tellement mal en dehors de mes rêves que mes malheurs sont arrivés à toucher le fond de mon esprit.
Je me nomme Jasmine et je cherche désespéremment un moyen de donner fin à ces rêves complètement suréalistes.

Dernière modification par Lovelymour (Le 08-07-2013 à 12h39)

Le chant des sirène : Chapitre 3 : L'oublie Bonne lecture !

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Chapitre 1 : Le jour gris

Les cloches sonnèrent du haut de la montagne de Tokyo. Ce n'était point pour annoncer une union, met un décès.Je n'arrive pas a y croire, pas lui, il était le meilleur, et le seul. Mon grand-père 77 ans mort dans son lit la nuit dernière. Mes sœurs et moi même n’arrivons à y croire. Sous le choc, la cadette de mes sœurs s'enfuit en larme vers le lac. J'allais la suivre mais une main m’arrêta je me tourna vers ma sœur qui me tenais elle était rouge à cause des pleures. Elle me dit :
- Laisse là. Elle doit être seul.
Elle n'avais presque plus de voie. Puis la cadette de mes sœurs revint et pria avec nous. Vint une sorte de cérémonie on chacune de nous devais récupérer se que grand-père nous à donner après sa mort. Chacune de nous reçut une somme d'argent 129 862 yens (1 000€). Puis chacune de nous reçut une maison. Pour la cadette se fut une petite maison bleu dans une des grandes forêt de Tokyo. Quand à moi, l'ainée, se fut une demeure au bord de la mer. Chacune de nous regarda une dernière fois grand-père. Puis l'heur arriva grand-père était enterrer dans un petit cimetière nous loin de China-China. Au bout de quelque heure, chacune de nous s'aprettaient à partir voir à quoi ressemblais notre maison. Nous nous fîmes un gros câlin prêtant serment de nous retrouver demain, au cimetière de grand-père vers 14h.

J'avançais péniblement. La marche vers la maison de grand-père fut longue. Mais j'avançais, revoyant des images de lui, dans ma tête. Non ! Je ne voulais pas l'oublier et non ! je ne l'oublierais pas. La colère prenais le dessus. Je me calma. Je pouvais distinguer la mer au loin. Je couru et, vu la maison bleu :
- Ces à sa que ressemble ma maison ? Elle est magnifique !
A ces mot je sortie la clef de la poche de ma robe noir. J'ouvris doucement la porte de peur. Puis j’enlevais mes chaussures et posa mon pied sur le sol glacer. A ma grande surprise la maison était propre je pris une lampe à huile poser à coter de moi et l'alluma. Je me dirigea vers une fenêtre et tira les rideau afin d'y voir clair une fois le salon éclairer j’examinai la pièce regardant chaque petit détaille :
- Grand-père... dis-je tout bas
Je le sentais près de moi. Je ferma mes yeux. Respirant son odeur mélanger à l'air marin. Je fit ensuite le tour de la petite maison ouvrant les fenêtres. J'entrais dans une pièce, certainement son bureau. Une lettre était poser, et sous la lettre un livre écrit par lui en personne. Ce livre parlais des sirènes :
- Certainement un conte, je le lirais ce soir !
Puis j’aménageai toute mes affaires et nettoyant de fond en comble la maison. Une fois fini je m'assis sur mon divan pour me reposer.

Au bout de quelques heures une brise légère me réveilla. Je montais les marches en bois pour arriver dans l'ancien bureau de grand-père. Je pris le livre et la lettre et decendit dans la cuisine j'ouvris la lettre, une lettre qui mettais destiner :
- Chère Haru, lorsque tu lira cette lettre je serais mort. Ne cherche pas car tu trouvera bientôt pourquoi je suis mort les réponses à tes questions sont dans le livre de sirène que j'ai écrit.

Je m’arrêta un instant. Comment sa les réponses à mes questions. Cette mort était un suicide, un meurtre ?
J'ouvris le livre avec hésitation. Je lu le premier paragraphe,puis tout un chapitre. Met rien ne m'aidais c'était floue, vague et encore les mots son faible ! Je pensa quelque minute :
- Mon grand-père est devenue fous ? Les sirènes n'existent pas !
Mais je me calma, se n'est pas bien de parler sur les gens surtout lorsqu'il sont morts ! Donc je réfléchi a une explication. Peu être qu'il sais fait tué ? Non ! Sa ne tenais pas debout mon grand-père ne parlais à personne, et il restais à chaque fois chez lui. De plus son corps était sans blessure ni rien. Sa ne pouvais pas être un suicide non plus, aucune arme,corde ou autre seulement des couteaux de cuisine ! C'était bizarre, mais ... Je continua les autres chapitres du livre pour trouver mes "réponses".

Chapitre 2 : La mer.

Je me réveilla brusquement dans la cuisine le livre fermer :
- J'ai dormis ...
Je monta pour prendre une bonne douche. Je monta "au que la terre est basse" pensais-je ! Arriver en haut je me dirigea vers la salle de bain, et ouvris le robinais pour attendre l'eau chaude, mais aucune eau ne sortais. Alors je pris ma serviette et une tenue facile à mettre et sortie dehors.

Comme j'habitais juste en face de la mer je chercherais un coin d'eau entre deux rocher pour mis baigner. Je décendis une dune de sable fin, le sable était chaud mais pas brûlant et qu'il fessais bon ! Je regarda à droite puis à gauche et j'aperçus un p'tit coin à l'abri des regards et même si j'avais un maillot ce n'était pas une raison. Quelle chance l'eau était douce ce n'était pas de l'eau salée ! Je regarda au fond voir si il y avais des bêtes, je viras quelque petit crabe et mis glissa.

Une fois fini je m'essuya avec ma serviette bleu marine, et mis ma petite robe verte à fleur. Je marcha sur le sable toucha l'eau avec mes pieds. Au bout d'un certain temps je pensais à renter je couru et ma cogna contre quelque chose de dur :
- Oh ma tête ! dis cette chose dur
J'ouvris les yeux, j'étais tomber sur un jeune garçon âgée de 20 ans peu être :
- Désoler je ...
- Oh ce n'est rien mais où courez vous comme sa ?
- Heu chez moi, ces la maison bleu là bas !
Je pointa mon doigt pour lui montrer. Il me raccompagna. Il me parlais de sa famille sa vie ou autre chose comme sa ...

- Merci de m'avoir déposer passez une bonne journée !
- Appelez moi Nathian !
-Heu ... d'accord !
Je rentra vite chez moi, déposa mes chaussure sur la petite étagère et me précipita dans le bureau de grand-père pour voir si il m'a laisser autre chose.

Je chercha chercha met rien,rien d'autre qu'un livre et une lettre ! Sa ne m'aide pas vraiment alors je relus le livre. Au chapitre 15 du livre une page était coller à une autre. Je pris un couteau et sépara les deux feuilles je lu cette page :
" Si vous allez dans l'eau, et que vous criez : sirène,sirène ! elle viendront et vous emmènerons toute fois,rester vigilant !

Je pris ma combinaison et alla direction la mer. Je plongea et cria 3 fois :
- Sirène, sirène !
Rien ne se produisis je comptais rentrer quand qu'elle que chose attrapa ma cheville et tira dans l'eau j’eus à peine le temps de dire :
- Auuuuu secouuuure !!!!!
La chose démoniaque me tirai dans l'eau. Une fois dans l'eau le sombre et la lumière se mélangèrent aux corail je voyais floue. Et brusquement je tomba dans les pommes.
Nathian plongea à toute vitesse et me récupéras. Je sentais ses lèvres sur les mienne, je me réveilla en sursaut.

Chapitre 3 : L'oublie

Sans réfléchir je le claqua :
- Ces comme sa que tu remercie quelqu'un qui te sauve toi ?
- Euh je ...
- Si je t'avais pas aider tu serais au cimetière !
- Oh mince le cimetière !
Je couru à toute vitesse chez moi pour me préparer. Sa fessais 1h que j'étais en retard, vite,vite ! Juste après avoir mis ma robe noir et pris le bouquet de fleur pour grand-père, j'aperçus mes sœur je sortis de vitesse et leur dit :
- Désoler je me suis noyer dans l'eau ... j'étais rouge de honte
- Mais oui et prince charmant ta sauver ces sa ? Dit la cadette
- Bah c'était pas un prince mes il était charmant oui. Dis-je encore plus rouge.
Après sa Nathian arriva et ce frimeur dis :
- Votre stupide sœur ces noyé et je l'ai sauvé !
- Oh ! Haru la prochaine fois fait attention hein ? Bon tu viens !
- Heu oui oui !
Nathian nous coupa aussitôt :
- Puis-je venir ? Je connaissais votre grand-père...
- Bien-sur ... lui dis-je.
Je présenta mes sœurs a M. je frime.
- Alors la sais Sakura ces la cadette ! La sais Kami-San euh la moyenne !
Ma sœur (moyenne) cria aussitôt :
- Et je pense que tu connais notre sœur malheureusement ! dit-elle en rigolant
- Je la trouve charmante votre sœur moi ! dit-il
Bon la je m’énerva :
- Pourquoi ces moi qu'on vise ! J'étais rouge rouge plus rouge qu'une tomate
- Tu nous cacherais pas quelque chose par hasard toi ? Dit la cadette.
- Nan non !
Nous contions le chemin sans plus un mot. On arriva près du cimetière de China-China. J'aperçus la tombe de grand-père je leur fis signe. Nous posâmes les fleurs prient de toute notre force, aucun bruit dans le cimetière on s'entait la mort et on en avait peur, je suais rien que dis penser !
Au retour je pris mes sœurs dans les bras et dit quelle pouvais repasser quand elle voulais. Je rentrais avec Nathian. Il me regardai je fis mine de ne pas le voir. Puis il me parla je disais des petit "oui" ou des hochement de tête. Il était près de moi j'avais peur, je tremblais :
- Tu as froid ? dit-il
- Heu non.
Arrivez chez moi il me dit au revoir. Moi j’enlevais mes chaussure et m’allongea sur le divan, morte de fatigue.

lolobauls : Oui ! Mais au chapitre 4 elle va découvrir quelle que chose d'important sur Nathian ! Ce chapitre étais pour montrer qu'il s'aiment beaucoup Haru elle s'en fiche un peu !

ninqueen : Génial ! La suite ?

Re

CHAPITRE 1:

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Malheureusement, cette fois, mon imagination  ainsi que mes pensées sont  allées trop loin. Ce rêve semblait réalité, il me semblait bien, réel de tomber d’un puit et de me retrouver dans un univers face caché de mon esprit incroyablement créatif,ai-je touché d’un cheveu le sol que j’hurla de plus belle. Ce grondement revint, et ce hurlement avec. Ma tête tourne, tourne, j’ai l’impression de ne plus rien voir…L’envie de me démanger ne venait pas qu’au stress de rester dans mon monde imaginaire mais celui d’une flamme brûlante éffleurer mon cou… Serait-ce un incendie.. ? J’ai du mal à le croire.

- Pourquoi doutes-tu de toi ? Jamais je ne t’es vu aussi anxieuse pour si peu.

Si peu ? Comment peux-t’il oser.. ? Je vais peut-être partir en cendre là-haut, dans ce ciel blanchâtre  embué de nuages pâles cherchant désespéremment où mettre la tête, et lui, tout ce qu’il a à me faire, ce sont des reproches ? Des reproches inutiles. Une question inutile. Des paroles vexantes.Voilà tout ce qu’il trouve à me dire.. ? Simplement, je l’aurais cru plus respectueux, un esprit doit bien se montrer poli en vers la pauvre orpheline que je suis. Je n’aimerai pas rejoindre mes parents là-haut, les revoir me feraient un mal fou vu comment j’ai été traîter autrefois. Je VEUX rester dans mon monde de folie, l’imaginaire doit règner, je dois me contrôler… Et prendre le dessus sur tout, avoir le pouvoir de tout refaire changer et me reposer encore un peu sur mes pâquerettes.. Quoi que, elles se sont surement envolés en fumée, qui sait.

- Moi qui te croyait un peu moins égoïste…