Cromimi - Erstes freies virtuelles Haustier Spiel online

Enkisheena>>  Je suis suspendue à tes mots !! *.* C'est super bien, quoi dire de plus?... La suiite !! x) Je suis fan !!
Bon jeu ! ^^

Kikooo Tout le monde !!

Je vous avait promis la suiite mais........Je n'ai vraiment pas d'idées !!! Désolée

Djanisse : La suiite !

Dernière modification par fatou91 (Le 24-05-2013 à 22h36)

Hey !!!

Géniale djanisse, la suite !
courage fatou, tu vas bien trouver, moi c'est toujours le soir que j'ai pleins d'idées, quand j'ai plus l'ordi, quoi...--' 

Je vous remercie énormément ça me fait drôlement plaisir ! Mais attention : grand changement ! Le prochain chapitre se nomme  Journal de la vie donc il va être sous forme d'un journal, j'espère que ça va vous plaire. Après ça redeviendra normale, vous comprendrez plus après... Par contre j'ai un  petit problème !!! : je veux changer le nom de Léna parce que j'en ai un peu marre de ce nom ! vous me direz :  on ne change pas le prénomnom du perso principale  juste parce qu'on en a un peu marre ! Mais bon je trouve qu'il ressemble bien trop a Levy (ce prénom la je l'aime trop !) et que je l'utilise depuis super longtemps et que voilà je trouve que ça lui va pas super... Donc...  je vous lance un concours du plus beau prénom féminin pour l'héroïne de mon roman !!! sachant que  habituellement elle est calme, timide, douce et gentille. (comme Levy !)

Voilà donc j'espère que vous voulez bien me dire tous les plus beau prénoms que vous connaissez !

Pour ce qu'il en ait du  journal de la vie, il est sur feuilles (3 pages et demi !!!-avec pleins de trous entre chaque jours, rassurez-vous !-) et il me reste a le recopier... --'

Dernière modification par Enkisheena (Le 25-05-2013 à 11h29)

Bonjour voila un "new" poème


La paix


Un jour la nuit s'achève
Et le jour se lève
On n'y croit pas
Non, ces trop beau pour le voir
On est comme hypnotiser
Chaque minute élever
On es aveugle du coeur
Entre nous, soeur
L'âge d'or est la
La paix resteras

Alors ?

voici enfin la suite de mon histoire


EPISODE 7

c'était une forêt sombre ou seul les corbeaux volaient, seul quelque rayon de soleil passer a travers le feuillage, une île remplie de serpents et d'araignée...
-Ahhhh !!! une araignée !!! Ahhhhh !!! un serpent !!!! criaient elea et azureva en coeur.
-Ah la la, quelle bande de chochotte ! dit pierre sur un ton de moquerie.
-NON MAIS SA VA PAS ! ON PEUT Y LAISSER NOTRE VIE !!! s'énerva azu'.
-Hum.. euh.. regarder sa. dit mathias tout bas
-C'est quoi ? demanda azureva
-Ah, bah je peut pas la dire, ont est en vacances. dit pierre avec le sourire jusqu'au oreilles.
-Pierre, tu peut nous parler de ce qu'on a apprit a l'école maintenant lui dit mathias
-Alors.. hum, ceci est une pierre sacrée qui est très dangereuse, il y'a une légende qui dit que cette pierre produit de la magie noir. dit pierre
-de..de..de..de la.. m-m-magie.. noir ?!!! s'écria elea avant de fuir
-elea ! reste ici, tu va te perdre ! s'écria mathias
Mais elea n'entendu rien
-On a plus que 30 minutes pour la retrovuer avant le coucher du soleil. informa pierre
-Oh sa va ! pas besoin de nous stresser encore plus ! répondit mathias. puis il ajouta : Il faut partir a sa recherche !!!

                                                                                       A suivre...

C'est... c'est Magnifique!!! Bravo, yjd!

bonjour,
je vais surement écrire un tout nouveau livre ^^

ps:(je vai peut etre avoir un sac gallantry je choisi lequel ?
http://www.sac-gallantry.com/2961-large/sac-gallantry-guimauve-purple-40-l.jpg
http://www.sac-gallantry.com/2971-thickbox/sac-gallantry-pink-lady.jpg
http://www.sac-gallantry.com/2227-large/sac-week-end-gallantry-rose-pale-40-l.jpg )
lekel des trois merci de me répondre au plus vite je sais ke c'est du hors sujet mai c'est un énorme choix ^^

j'opte plutot pour le dernier rose pale

Dernière modification par coeur-de-citron (Le 25-05-2013 à 21h03)

Re-hey !

coeur de citron je voudrai pas dire mais... c'est un peu hors sujet ton histoire de sac, même si perso je préfère le 1...

herry ça a l'aire vraiment bien mais je ne qualifierai pas ton prologue de prologue mais de résumer ! sachant qu'un résumer dois donner envie de lire sans tout dévoiler... C'est réussi !

Katty c'est très beau !

Mathias, La suite ! y a du suspense, c'est bien ! juste, y faudrait que si la pierre est si dangereuse (je c pas trop si c'été ironique ou non) en fait au début tu devrai faire en sorte qu'il sais pas trop (sinon il aurait pas blagué) et que c'est pour ça qui fait semblant de savoir puis après il comprends ce que c'est, tu vois ?

Bon personne ne m'a répondu pour le nom que je cherche... Maggy, c'est bien, non ? Bon je vais mettre ça pour l'instant je verrais plus tard...

demain le chap 5 !

Chapitre 16
La question

Je me demande se que Lorenzo me veut , je n'arrete pas de me demander c'est c'est Deliane qui lui a demander de faire tout ça , les sortis ect...
Je me rends au college , je vois Jordan. Nous discutons de tous et de rien comme d'habitude.
Tou a coup il me demande ?
Dit Lina , c'etait vrai se qu'as dit Déliane a la fete ?
Je ne reponds pas , je rougis juste .
Tu est amoureuse de moi ? Dit-il en rougissant.
Tania , vient est interrompt , sans le faire exprés se moment de malaise.
Nous allons en cours , et nous revison encore et encore Roméo et Juliette. Jordan me regarde bizarrement depuis qu'il m'as poser la question que je voulait eviter a tout prix « Tu est amoureuse de moi ? » Mais bon , nous restons consentréent sur la pièce.
C'est demain la fete de tous les 5emes. J'ai trop hate. Je suis en inspasciente !
C'est enfin la fin de la journée.
Je vais toujours et encore sur mon bon vieux canapé que je trop !
Je m'endor dessu , en pensant a la fete de demain. Et surtout a se que Jordan ma demander.

Vendredi
Je me reveil , je suis sur le canapé. Je prends une douche , m'habil , me coiffe ect... La fete se passe dans le college a 19h , il n'y auras pas d'adulte enfin a la fete , mais dans le college oui.
Tania vien se preparée chez moi comme ça on pouras discuter et nous preparée en meme temps , elle vien d'arriver.
Coucou Lina ! Dit-elle gentillement.
Coucou.
Ça va , inpasciente d'etre a la fete ?
Oui trop ! dit-je
Elle m'aide a choisir la robe que je meterais se soir.Elle a vraiment bon goût , pour tout se qui est vetimentaire. Je lui  dit toute en rougissant.
Tu sais Tania... Hier ton fere ma demander si je l'aimer.
Il ta demander ça ?! Dit-elle etoner
Oui .
Tu lui a repondue quoi ?
Ben rien tu est venue a temps .
Ah désolée de vous avoir interrompuent.
Nous continuons a choisir les robe et a discuter ….

la suite ?

voui la suite !

Merci et de rien herry !

En prénom j'hésite entre Maggy et Kiara, hum ?

Voilà tous mes chapitres, bonne lecture !

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Chapitre 1

Cauchemars sanglants

Elle se redressa en sursaut, trempée de sueur et le cœur battant la chamade. Elle dut faire un bel effort pour parvenir à se calmer. Elle était assise dans son lit, observant les alentours. Une vaste chambre ronde de pierres blanches, un feu brûlant dans la cheminée, des rideaux de velours dissimulant une large fenêtre donnant sur le jardin... Elle était bien dans sa chambre. Encore se cauchemars, toujours le même venant assombrir ses pensée. Elle n'avait plus aucun répit. Dès qu'elle fermait les yeux, la vision du feu et de l'ombre l'envahissait. Elle décida donc de se lever malgré la pénombre de la nuit. De toute façon elle ne pourrait plus se rendormir. Elle se vêtit d'une robe légère et d'une cape volante avant de dévaler les marches menant au hall d'entrée. Elle poussa la lourde porte puis sortit en courant. Fuir, était sa seul manière d'éviter de retomber dans son rêve sanglant. Elle se dirigea immédiatement vers l'écurie et pris sa jeune jument pour galoper dans l'immense domaine qui s'ouvrait à elle. Le contact de ses jambes sur le dos de sa monture et sa crinière s'enroulant autour de ses doigts la calmait plus que tout. Soudain, elle eut l’impression que tout autour d’elle tournoyait et une vision d’arbre en feu l’assaillit ! Sa jument avait disparu et elle courait comme si sa vie en dépendait. Elle parvient en haut d’une colline et la dévala, arrivant dans une large clairière. Un arbre, plus haut qu’elle n’en avait jamais vu s’élevait, là, juste devant elle. Elle ne pouvait s’arrêter, comme si  elle ne dirigeait plus son corps. Alors, courant toujours droit devant, elle fonça droit dans l’arbre !...
***
Elle se redressa doucement, les membres engourdis. Lorsque qu’elle passa sa main sur son front, elle y découvrit une large trace de sang qui dégoulinait le long de sa joue. Que lui était-il arrivé ? Elle n’avait plus beaucoup de souvenirs de ce qu’il s’était passé. Elle se leva en chancelant et du se retenir à un arbre pour ne pas tomber. C’est alors que tout lui revient tel un flot tumultueux, la faisant tituber de plus belle. Elle aurait peut-être préférer ne pas s’en souvenir… Elle revit tous et dut se rasseoir pour ne pas tomber. C’était comme dans ces rêves, mais, là, elle était certaine qu’elle ne s’était pas endormie. Comment ces visions était-elle parvenue à l’assaillir même éveillée ? Alors elle comprit qu’elle avait dut tomber de sa monture avant de s’évanouir. Mais où était donc-t-elle passée ? Habituellement elle ne la quittait que très rarement, toutes deux étaient très proches. La jument était sa seule amie (à part Levy, la jeune servante de sa famille). Depuis toujours, Léna s’était faite rejeté par tous. Elle ressemblait aux autres tout en étant très différente. Elle ne pouvait l’expliquer mais en avait conscience. C’est pour cette raison qu’elle ne leur en voulait pas. Le domaine de ses parents lui suffisait : les animaux l’acceptaient bien, eux, et le domaine était immense et elle pouvait faire tous ce qu’elle désirait dans cette étendue herbeuse !

Chapitre 2

Quand Viennent Les Ennuis…

« Mademoiselle ! Mademoiselle, Léna ! Vous allez bien ?
-    Levy ? Oh, c’est toi…
-    Mais regardez-vous donc ! Vous saignez, ma parole ! Que vous est-il donc arrivé ?
-    Ne t’inquiète pas, Levy, tous va bien ! »
Lé na lui lança un grand sourire avant de se redressez. Elle s’était assoupit ! Et maintenant le soleil brillait haut dans le ciel… La jeune servante grimaçait encore.
« Eh bien, que se passe-t-il ? Je suis dans un tel état ?
-    Oh non, ce n’est pas ça, mademoiselle ! Mais… Votre père est rentré, il est accompagné de votre cousin et cela fait au moins une heure que je vous cherche !
-    Levy…
-    Heu, oui, mademoiselle ?
-    Cesse donc de me vouvoyer, Levy ! Cela fait plus de 3 ans que l’on se connaît et je te le répète depuis autant de temps !
-    Désolé, mad… Heu, Léna, mais ton père a toujours exigé que je te vouvoie, ainsi que ta famille.
-    Levy… Je ne suis pas mon père. Remarqua Léna d’une voix douce.
-    Oh non, bien sûr mais, s’il me voyait…
-    Oh mais il ne te verra pas, suit-moi !!! » s’écria la jeune fille joyeusement avant de se redresser et de se mettre à siffler entre ses deux doigts.
Un premier hennissement, puis un second… Pourquoi de venait-elle pas ?
« Je crois que vo… que ton père l’a vu… » songea tout haut Levy.
Léna pâlit immédiatement.
« Léna ?
-    … Alors je vais y aller.
-    Oh non, tu sais bien que…
-    Il pourrait lui faire du mal. Je ne le supporterais pas.
-    Mais…
-    Je veux que tu aille à ma chambre, tu connais le « passage secret », hum ? fit-elle d’une voix sèche.
-    Mais… s’étonna encore la jeune servante
-    EXECUTION !
-    Très bien, mais faites attention, la pria Levy, peut habitué par ce changement de caractère de son amie.
-    De là-bas tu pourras nous voir et nous entendre, tu sais, repris-t-elle d’une voix douce pour s’excuser et pour rassurer son amie qui acquiesça. »

Chapitre 3

Combat Injuste… Qui Gagnera ?

Elle se tenait là, juste derrière lui qui observait attentivement la jeune jument, fermement tenue par ses gardes du corps.
« Bonjours père. » Sa voix, forte est posée fit sursauter les 3 hommes qui se retournèrent d’un coup, libérant involontairement la jeune jument.
« Oh, mais qui va là ! lança son père à la cantonade.
-    Oh, pardonnez-moi, je ne pensais pas que vous pouviez oublier votre fille, si peu importante à vos yeux soit-elle !
-    Que veux-tu donc, impertinente ! s’écria-t-il surpris par sa force de caractère.
-    Laisse-là tranquille. Renchérit-t-elle en désignant sa monture qui approcha docilement vers la main de sa jeune maîtresse avent de venir se placer derrière elle.
-    Pff, qu’elle importance, va-t’en ! j’ai d’autres chats à fouetter !
-    Non.
-    COMMENT ? Hoqueta-t-il vraiment étonnée.
-    Je ne vous laisserais pas fouetter un seul chat. Continua-t-elle tranquillement.
-    Ha ha ha ! Dis-moi où est donc passé la jeune fille timide et distingué qui baissait les yeux à l’arrivée de son père ? se reprit-il dignement.
-    C’est bien ce que je disais, tu n’es même pas capable de reconnaître ta propre fille !
-    Mais vas-tu te taire ? s’énerva-t-il.
-    Tu me demande si je vais me taire ? Alors je te réponds en toute franchise : non.
-    Oh et je t’ai déjà dit mille fois de me vouvoyer !
-    On vouvoie les gens que l’on respecte ou que l’on considère comme supérieur, à se que je sache. Et pour moi, tu n’es ni l’un, ni l’autre !
-    Cof, cof ! Faites la taire ! Elle va me rendre fou, ma parole ! s’étouffa l’homme devenu écarlate.
-    Quelle lâcheté ! Demander à des hommes honnêtes de faire le sale boulot à sa place ! Tu es tombé bien bas, dis-moi ! s’exclama-t-elle, faisant hésiter les deux gardes.
-    N’écouter pas cette vermine ! Ce n’est qu’une petite… Oh et puis si tu continu c’est toi que je vais faire fouetter !
-    C’est toujours moins lâche que de s’en prendre à des chats sans défense ! remarqua-t-elle, toujours aussi amusée.
-    Attrapez-la, vous dis-je !
-    Je ne voudrais pas leur faire de mal…
-    Ha ha ! Qui rira bien qui rira le dernier, va ! Mais tu as à faire à des professionnelles, ma chère ! Tu n’as aucune chance, ce sont des hommes, eux !
-    Perrrrmettez-moi, monsieur, de vous faire remarquer que c’est actuellement vous, qui riez ! exagéra-t-elle.
-    Ne voyez-vous donc pas qu’elle vous insulte, en plus de m’insulter, moi ? demanda-t-il aux gardes gênés et complètement perdus qui se décidèrent enfin à écouter leur supérieur.
-    Bien trouvé ! acquiesça-t-elle, mais cela ne les rendra pas pour autant plus fort ! se tournant vers les deux hommes : pardonnez-moi, je vous en prie, je m’excuse solennellement pour que cet être ignoble, lançant un regard noir à son père, m’oblige à faire. S’excusa-t-elle dans une courbette. »
Les deux hommes se préparèrent à bondir. Elle esquiva le premier qui s’écrasa au sol et stoppa net le deuxième en lui barrant la route de sa paume en allongeant simplement le bras. Il en fut si surpris qu’il trébucha sur l’autre et tomba par-dessus lui.
Elle s’excusa une dernière fois la jeune fille qui s’apprêta à partir avec sa jument lorsque son père la rappela : « Léna… » Elle lui lança un regard noir avant d’apercevoir sa mère, son cousin ainsi que Levy qui avait dut la prévenir.

Chapitre 4

Lorsque La Verite Decide D’Apparaitre

« Comment… Comment as-tu pu…
-    Je vous avais prévenus !
-    Que se passe-t-il ici ? questionna sa mère.
-    Oh, rassure-toi maman, ce n’est rien ; nos petites disputes habituelles !
-    Petite dispute habituelle ? Ah oui et vois donc les deux hommes que tu as mis à terre ! se tournant vers sa femme, je te l’avais bien dit qu’il ne fallait pas n’importe qui ! Et je n’ai cessé de te rappeler que c’est un fils que je voulais ! Un homme, un vrai ! Et pourtant, tu l’as prise ! J’aurais dus te convaincre, j’ai été bien trop bon !
-    Que racontes-tu là ? On ne choisit pas l’enfant que l’on porte à ce que je sache ! Et Léna est une jeune fille formidable, intervint Gabriel, son cousin.
-    Dis-leurs, toi ! ne reste pas à te lamenter ainsi ! Tes histoires d’enfant descendu du ciel, je n’y crois plus ! Quel homme niai ais-je pu être ! gronda-t-il à sa femme.
-    Qu’oses-tu dire là ? Aurais-tu perdu la foi ? Je te le dis, moi, je l’ai vu de mes propres yeux ! fit la frêle femme d’une petite voix.
-    Je ne crois pas tes yeux, voilà tout !
-    Je ne te mentirais pas, tu le sais !
-    Oh non, je ne sais plus rien de toi, cette enfant t’a fait changer !
-    Elle m’a ouvert les yeux !
-    Tes yeux que je ne crois pas !
-    Tu l’aurais vu, toi aussi, si tu avais été près de moi !
-    Non je n’aurais rien vu ! Et j’étais souvent près de toi !
-    C’est faux, je n’ai aucune importance à tes yeux, si ce n’est tenter d’avoir un fils que l’on aura jamais !
-    Tu en aurais eu, si tu ne l’avais pas récupéré !
-    Non, Jamais je ne le pourrais, si c’est avec toi ! » Léna n’écoutait plus leur dispute interminable, c’était si rare que ça mère tienne tête à son père ! Comme pour elle, d’ailleurs, mais elle en avait eu marre de cet homme égoïste qui ne pensais qu’à lui ! Mais elle était là. Elle avait entendu et  ne comprenait plus, son cousin non plus. Leurs  regards se croisèrent. Levy, elle, gardait la tête baissée, fuyant les regards interrogateurs. De qui parlait-il donc ? Elle avait cru un instant que c’était elle mais elle songeait à présent d’un enfant mort ou disparu. Ces parents avaient donc eu un autre enfant… Elle n’en savait rien jusqu’à maintenant, tout comme Gabriel. Mais la voix forte de son père la tira de ses songes, la faisant sursauter :
« Léna n’est pas ma fille !
-    Je sais que tu ne l’aimes pas mais… intervint Gabriel.
-    Non seulement je ne l’aime pas mais ce n’est même pas ma fille !
-    TAIT-TOI ! rugit sa femme, dont le cri impérial laissa place à un silence tendu et lourd de souvenir douloureux.
-    Elle doit savoir. C’est son droit. Chuchota Levy comme pour se convaincre elle-même.
-    Levy… Mais, que… Défends-moi ! hésita la femme redevenue frêle et fragile.
-    Vous aussi, vous avez le droit de savoir…
-    Tiens, tu vois, elle, elle n’a pas perdu la raison au moins !
-    Léna n’est pas n’importe qui ! défendit Levy, et moi, je sais qui c’est ! » Les mots résonnèrent dans l’esprit de Léna en tambourinant et une vague gigantesque vint tout balayer, la noyant et la secouant comme pour réveiller ce qui sommeillait au fond de son cœur… Elle tituba de plus belle, à présent, elle en était certaine : c’était d’elle, et uniquement d’elle qu’ils parlaient ! Autour d’elle, tout devint noir, les ténèbres la gardaient prisonnière…

Chapitre 5

Journal d’une mort

Mercredi 22 Novembre

J’ai un peu peur. Peur de l’ignorance envers ce qu’il m’arrive. Je ne sais pas ; Je ne sais plus…. La seule chose que je puisse faire est attendre. Quoi ? Je n’en ai pas la moindre idée… Parfois j’entends des voix, ou plutôt une voix. Elle est trop lointaine, trop ténu pour que je parvienne à en comprendre le sens.

Jeudi 23 Novembre

Une légère appréhension ne m’a pas quitté mais je ne pense pas que l’on puisse appeler ça de la peur. Oui, parce que je commence à pouvoir penser à nouveau. Certes, je ne suis pas capable de me souvenir de quoi que ce soit mais au moins, j’en ai conscience ! Si c’est cela la mort, elle est bien belle ! Une sorte de gros nuage blanc m’entoure. J’entends toujours la voix, mais je ne parviens pas encore à l’identifié.

Vendredi 24 Novembre

J’ai retrouvé le sens du toucher : je sens le nuage moelleux sous moi… Je crois que je ne me suis jamais sentie aussi bien ! Une douce chaleur m’emplit de bien-être… J’entends la voix, elle est de plus en plus lointaine mais de toute façon je n’essais même plus de comprendre…

Samedi 25 Novembre

Je me laisse aller ; je cesse de réfléchir ; je n’écoute plus… je suis en train de perdre la notion du temps… Je n’en ai que faire, je suis si bien ici… Je veux y rester… Mes yeux se ferment lentement….

Quand sommes-nous ? Non, il ne faut pas que je me questionne, ou… Oh, je ne suis plus sure de rien, je suis en train de tout perdre… Même si je suis bien je ressens un certain malaise…

Oh, stop, stop ! Je n’en peux plus de tous ses bruits qui m’entoures ! Je veux revenir à mon petit nuage… J’entends de nouveau la voix, j’ai l’impression qu’elle m’en veut, elle me cri quelque chose mais tout va trop vite…

Une autre voix s’est jointe à la première, elles sont fortes, elle m’appelle, je le sais mais je n’ai plus la force de rouvrir les yeux… Elles affolent mon cœur, c’est de pire en pire, je ne pourrais pas résister très longtemps !

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh ! Ce cri déchirant, c’est le miens, il a tout tue mais je suffoque, je m’étouffe. Je sens une autre douleur, moins fulgurante mais elle m’empêche de repartir, elle me sert fort et me rappelle que je suis encore là…

Ouf, elle s’en va peu à peu, et moi avec. Je ne sais plus que faire. Le destin choisira pour moi. Tout ce que je désire, c’est de ne plus souffrir…

Les battements ralentissent peu à peu, ils se font plus doux… Je préfère ainsi. Je les entends, tout proches, ils me rassurent, je ne sais pas pourquoi. Mais ils tapent, toujours et encore, au fond de ma poitrine…

Plus rien que le silence. Ils se sont tus. C’est comme sii mes yeux se fermaient après un long cauchemar…

Oh, ce n’est pas possible, on ne me laissera donc jamais en paix ? Mon cœur est repartit, même si il est très faible, c’est contre mon gré ! On ne m’a pas demandé mon avis à moi ! Je suis frustrée que le choix de mon destin soit remis en cause ; cela peut être curieux mais c’est exactement cela…

BIP…BIP…BIP…BIP…BIP…BIP…BIP… BIP…BIP…BIP…BIP…BIP…BIP…BIP…BIP…BIP….

J’entends mais je refuse d’ouvrir les yeux. Je crois que lorsque mon, cœur se ré-arrêtera, ils ne pourront plus rien faire. En tout cas les voix ne se sont pas ré-manifestées !

Quelques personnes parlent mais elles ne sont pas près de moi. Mais… il y en a une autre… Non, trois, qui me chuchote quelque chose… C’est alors qu’elles me parviennent, ce sont les deux premières que celles que j’ai entendu auparavant plus une autre. La première, je ne la reconnais pas mais elle m’est extrêmement familière… Et la seconde ? Oui, c’est cela, je la connais ! Mais de qui ? D’où ?

Levy ! Oui, c’est elle que j’entends et maintenant, je comprends ce qu’elles me disent ! « Enkisheena… Enkisheena… » Elles répètent ce mot que je ne comprends pas sans relâche, mélangeant leurs voix. Elles me font peur… Elles ne sont pas à l’extérieur, mais à l’intérieur… Le doute s’est installé dans mon esprit. C’est ce qu’elles voulaient, je crois… Alors, dans un bel ensemble, elle me murmure : Ce n’est pas cela ton destin, il faut que tu nous retrouve ! » Puis la voix de Levy reprends seule : « Je te guiderais, comme j’ai toujours tenté de le faire… » L’autre, celle que je ne connais pas enchaîne : « On te l’a caché trop longtemps, on a besoin de toi ici à présent… » Puis la dernière, plus douce que jamais : « Vas-y, maintenant que tu sais, ne t’arrête pas là, ce n’est pas une mort digne pour ce que tu es… Ce n’est pas ce que j’aurais voulu pour toi, pour ta jeunesse, je suis désolée… Maintenant, tu es la seule pouvant me venger, te venger et venger tout un peuple prisonnier…
Elles m’ont bien assez convaincu… La curiosité, la soif de vérité… Elles me connaissent bien… Alors… Je me redresse…

Dernière modification par Enkisheena (Le 26-05-2013 à 14h44)

bereniceM a écrit :

Voila la suite ( désolée je n'ai pas eu le temps de continuer l'écrire pour des raisons perso:cool:)
J'ai fait pas mal de changement alors a mon avis relisez tout pour bien comprendre.

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Chapitre 1 :
« La rentrée. »
La matinée commençait et l’école allait reprendre, les grandes vacances étaient terminées. C’était l’heure pour moi de retourner au collège, celui que je déteste tant. Accompagnée de mes parents, je m’élançai pour une année de plus dans cet établissement qui ne m’avait fait aucun cadeau.
Quand j’entendis M .Cappe, le principal du collège, m’appeler au micro,  je m’avançai vers ma nouvelle classe,  mais aucun visage ne me rappelait ceux de l’année dernière, j’étais toute seule.
Le professeur principal, M.Wingshter, prof de Français nous annonça que nous étions les 5°2.
Les « 2 » je les connais ; l’année précédente j’étais en 6°2. M.Wingshter nous amena dans sa classe et dit :
« Je suis votre professeur principal et votre professeur de français, M.Wingshter, vous avez surement entendu parlez de moi l’année dernière. »
Personne ne répondit. M.Wingshter prit un paquet de feuille et les distribua à tous les élèves. C’était l’emploi du temps de la semaine ; lundi matin, Anglais avec Mme Rouget puis Math avec Mme Lanta…
J’aimais bien cet emploi du temps ; je finissais presque tous les jours à 16h00. Les autres élèves aussi se réjouissaient. Après ça M.Wingshter nous distribua un papier jaune pour nous avertir des sorties de la classe ; on allait visiter une abbaye en décembre, en février on  partait une semaine en classe des neiges et en juin on allait quatre jours au bord de la mer Méditerranée. Génial ! L’année dernière on devait avoir trois sorties scolaire et deux ont été annulées pour cause de pluie. La troisième avait été particulièrement ennuyante.

M.Wingshter nous a distribués des feuilles de papier machine blanche et nous a demandé de mettre le nom et le prénom dessus. Bien sûr, j’ai écris : « Camille Duprés ». Puis il nous a réexpliqué les règles du collège et de la classe. Mon voisin était en train de jouer avec son stylo ; pas « fût fût » celui-là.
Je lui demandai :
« C’est quoi ton prénom ?
-Maxime… Maxime Chriss et toi ?
-Camille Dup... »
Ma voix se fit interrompre par celle du professeur de Français :
« Vous commencer déjà à vous faire remarquer jeunes gens !
Vous allez vite changer de place, vous ! Que je ne vous y reprenne plus ! »
Je le détestais déjà, lui. Soudain, la sonnerie se fit entendre. Je rangeai mes affaires et je  sortis en regardant mon emploi du temps. Bon, ensuite M. Wingshter nous dit d’aller en Anglais avec Mme Rouget salle 306. A ce moment là, une fille de la classe s’approcha de moi et me demanda mon prénom. Je lui répondis que je m’appelais Camille Duprés et je partis sans demander mon reste. Je savais que ce n’était pas très poli mais je n’étais pas sociable.

Mme Rouget était super sympa mais faisait de drôles de grimaces quand elle nous faisait écouter des conversations à l’ordinateur. En plus elle donnait trop de devoirs : un dialogue de dix lignes à apprendre par cœur pour le lendemain et deux exercices. « C’est de l’injustice » moi j’dis !

Chapitre 2 :

« Maman mystère. »

Heureusement les cours étaient terminés pour aujourd’hui. Ouf ! En sortant, la fameuse fille de la classe (il faut  bien lui trouver un nom) se pointa devant moi et dit :
« Salut, moi c’est Emilie Marchant et tu es étais à quelle école l’année dernière ?
-Brassens, lui répondis-je.
-Moi à St Exupéry c’est drôle c’est à l’opposé ! cria-t-elle.
-Bon je ne vais pas pouvoir papoter plus longtemps avec toi, il faut que je rentre. Désolée…
-A demain alors ! »
Qu’est-ce qu’elle me veut celle-là ? Bon ça pourrait être mon amie et elle a quand même l’air sympathique. Allée je vais faire effort ; demain je serais cool avec Emilie.
Avant de rentrer, je passai chercher ma petite sœur Lucie en primaire (donc à Brassens), puis nous arrivâmes à tant pour le diner. Lucie était au CE2 elle avait de longs cheveux blonds avec des petites bouclettes ; c’était trop chou ! Elle venait de nous apprendre que sa maitresse était à l’hôpital et qu’elle avait déjà un amoureux qui s’appelait Gabriel. Soudain ma mère dit :
« Et toi Camille, tu as fait quoi aujourd’hui ?
-Rien. Le prof principal nous a donné des millions de papiers à rendre demain. »
Ma mère ne dit mot, elle avala une cuillérée de soupe et se leva pour aller chercher la carafe d’eau. En passant elle jeta un coup d’œil sur son Black Berry puis le remit dans la poche de son jean. Puis elle lança :
« Qui est ton prof principal ?
-M.Wingshter, dis-je. »
Ma mère me regarda comme si elle avait appris une mauvaise nouvelle. Le regard fixé sur moi avec ses yeux grands ouvert, elle s’assit sur sa chaise et soupira. Mon père ne disait rien il était trop occuper à manger et ma sœur touillait sa soupe sans s’arrêter.
Le repas terminé, maman alla dehors. Je l’observai devant la fenêtre quand papa me dit :
« Camille, monte te coucher ! »
Ma sœur me prit la main et m’emmena dans ma chambre. Je ne sais pas pourquoi elle aimait bien faire ça mais c’était mignon. Ce soir et pour la première fois je n’avais pas bouquinée.
Je réfléchissais à la réaction de ma mère sur M.Wingshter. La tête qu’elle avait ! Peut-être qu’elle le connaissait.
Il était trois heures du matin et papa était là à côté de moi et me caressait les cheveux il me demanda :
« Qu’est-ce qui ne va pas Camille ?
-Rien, j’ai…j’ai fait un…un cauchemar horrible.
-Rendors-toi ça va passer ma bichette.

Le lendemain matin, à l’heure du petit-déjeuner, papa me demanda si ça allait et je répondis que oui. Comme tous les matins, j’emmenai ma petite sœur à l’école et je partis au collège. En arrivant, je vis un garçon aussi beau qu’un arc-en-ciel ; un blondinet aux yeux d’un bleu des plus clairs. Il me disait quelque chose, mais d’où ? Bonne question.
Ceci dit je n’avais aucune chance de tomber dans les bras de ce gars.
En rentrant en cours de maths je revis ce bel inconnu. Il était dans ma classe bien sûr. Je n’écoutais rien du cours, je le regardais sans le quittez des yeux. Soudain, Mme Lanta se mit à crier :
« Rudy, c’est bien ça ? Tais-toi et écoute le cours ! »
Et en plus il s’appelait Rudy. J’étais amoureuse.
   







Chapitre 3 :

« Maman au restaurant !»

Un soir, en rentrant avec Lucie, maman parlée au téléphone d’un air très inquiet. Dès quelle eut finit  la conversation, je lui demandai qui était à l’appareil. Elle me regarda longuement et bafouilla que c’était papa qui avait une panne de voiture. Je la fixais sans regarder ailleurs.
Quelques minutes plus tard, papa rentra souriant, comme tous les soirs. Je l’embrassais puis lui demanda si la voiture allait être rapidement réparée. Il répondit :
« Ma chérie, la voiture va très bien, pourquoi me demande-tu cela ?
-Rien… C’est juste que… que ce matin maman est rentré dans un lampadaire mais la voiture n’est pas trop cabossée…  T’inquiète pas. Ne lui demande pas de te raconter, j’ai déjà essayée mais… mais elle ne veut pas remettre le couteau dans la plaie. »
Papa ne dit rien il posa son manteau sur une chaise de la salle à manger, s’assit dans un fauteuil et regarda le journal d’aujourd’hui :

Ethan, le jeune garçon de 13 ans qui a disparu le 9 septembre 2007 a été retrouvé vivant hier soir au bord d’un lac. Les enquêteurs sont sur une piste et cherche celui ou ceux qui l’a kidnappé et emmené au lac. Le ou les coupable(s) risque 5 ans de prison dont trois fermes et 160 000 € d’amende.

« Hélène, le garçon qui s’est fait enlevé a été retrouvé vivant, s’écria papa. »
Ma mère se figea. Elle resta muette.
Mon père, voyant que ma mère n’avait pas la forme, se leva et alla la voir dans la cuisine.
«  Chérie, je vois qu’en se moment ça ne va pas, alors si on allait au restaurant ce soir ? dit papa.
-Euh… d’accord, dit maman, qui n’aime pas trop y allait. »
Je les observais depuis les escaliers et me réjouissait pour maman, qui allait enfin prendre l’air avec papa. En douceur, je montais les marches une à une et rejoignis ma chambre.
C’était une belle pièce (ma préférée, normal !) peinte en bleu avec des meubles blanc et un grand lit en hauteur noir. Un bureau bordait la chambre et des rideaux rouge orangé illuminaient la pièce. Je fis mes devoirs en vitesse et descendit. Lucie me rejoins immédiatement avec son doudou qu’elle ne lâche jamais. Maman dit :
« Nous allons au restaurant avec papa. La soupe est prête et j’ai aussi fait des raviolis pour vous. N’oubliez pas de vous brosser les dents après le repas, d’accord ? A tout à l’heure Camille et à demain Lucie. Soyez sage les filles.
-Au revoir, lança mon père. »

Chapitre 4 :
« Dans la peau de sa mère »

Pendant que je regardais ma série préférée, Grey’s Anatomy, le téléphone de maman sonna, elle l’avait oublié. Je décrochai et entendit une voix d’homme qui m’était familière.
«  Allo, dis-je.
-Coucou c’est encore moi Hélène, je ne l’ai pas trouvé, désolé. »
Paniquée je répondis :
«  Ce n’est pas grave, écoutez… euh écoute je n’ai pas le temps là. A plus ! »
Je suis contente qu’il ait cru que c’était maman. Mais, qu’est-ce qu’il n’a pas trouvé ? Je ne comprends pas. Maman nous cache quelque chose et je dois découvrir ce que c’est.
«  Lucie c’est l’heure de ce coucher maintenant, lui dis-je.
-Encore un peu sil-te plait Camille !
-Non, va te coucher et ne discute pas ! »
Elle s’exécuta et fila à toutes jambes dans sa chambre. Quartier libre pour moi. Il faudrait que j’essaye d’en savoir plus sur ce que ma mère cherche.
Je fouillai tout les meubles du salon, ceux de la cuisine et de la chambre de mes parents.
Mais je n’y trouvais rien. Je me suis résignai à fouiller le portable de ma mère. Toujours rien.
Elle a du effacer tout les messages de ce mystérieux inconnu. Dommage !
Je commencer a stressée comme une malade. Qui est-il ? Que voulait-il ? Et qu’est-ce qu’il
n’a pas trouvé ? Toutes ces questions ce bousculer dans ma tête à droite, à gauche, en haut, en bas dans mon cerveau. Tout d’un coup, Lucie fit irruption dans la pièce :
« Camille j’ai peur !
-Qui a-t-il ? demandai-je.
-J’ai entendu du bruit qui venait de la fenêtre lors je me suis penchée et j’ai vu un homme par terre. »

Chapitre 5 :

« Faute avoué à moitié pardonner ? »

Le lendemain matin je ne pris pas le temps de prendre mon petit déjeuner. Je ne supportais pas de vivre en présence d’une « criminelle » à la maison. Alors je sortis en pleurant, en me demandant pourquoi ma mère avait fait sûrement quelque chose de grave. En passant je regardais si l’homme qu’avait vu Lucie était là. Non, personne !
Je marchais le long de la rue Marcel Pagnol en réfléchissant, en me creusant la tête, en repensant à tous ces évènements qui me hantée. Pourvu que maman n’est pas fait une grosse bêtise. Je l’espère ! Mais comme je suis très futée j’ai pris soin de prendre le portable de maman. Soudain, un appel. J’étais très stressée à l’idée de répondre. Je décrochai.
« Allô, soupire-ai-je. »
Je reconnu immédiatement la voix de tante Cécile. Quel soulagement !
« Coucou Camille, c’est bien toi ?
-Oui, comment tu va ?
-Bien, t’as mère est là ?
-Euh…non elle…elle est allée faire des courses.
-Ok, alors tu pourras lui dire que j’aimerai passée un weekend chez vous si ça ne dérange pas, car je m’ennuie un peu à Nantes.
-Oui je le lui dirai, au revoir Cécile ! »
Ouf ! Mais j’aurai préférée savoir ce que l’homme n’avait pas trouvé. De plus, ça ne m’arrangée pas que tante Cécile viennent à la maison. Elle allée savoir que sa sœur manigancée  quelque chose avec quelqu’un. C’est pas bon du tout, ça !
Je me demande si cet homme que Lucie a vu dans le jardin n’a pas un rapport avec tout ça.
Pendant que je marchais dans les rues les points fermées, la bouche creuse et les sourcils froncés un garçon traversait la rue. Il me plaisait bien, même beaucoup. Il était cent fois plus beau que Rudy.
Je sortis mon portable et  hop c’était dans la boite. Personne ne pouvait résister à un blond à la mèche rebelle. De loin, il avait l’air angoissé, mais je ne voyais pas très bien. Je rentrai quand même à la maison. En rentrant papa râla :
« Où étais-tu passé Camille ?
-Rien je suis allé prendre l’air c’est tout ! »
Je lançai à maman un regard sombre et plein de haine qu’elle remarqua brusquement.
Elle s’éclipsa. Papa resta seul avec Pitchounet, notre chat noir et gris et Juna notre chienne. Il regarda derrière lui et soupira. Avant que maman n’aille dans sa chambre je déposai son téléphone sur la table de chevet à côté de son lit. Ni vu ni connu, je filai  dans la mienne.
J’entendis les pas de maman. Elle escaladait les escaliers en pleurant, se posa sur son lit et continuer à verser des larmes. J’entrai à mon tour et m’assit sur la couchette.
« Maman que se passe-t-il ? Demandai-je calmement  »
Elle me regarda sans dire un mot, me prit la main et m’avoua :
« Ecoute Camille j’ai fait une grosse bêtise, je me suis laissée embarquée, je n’aurai pas dû.
-De  quoi maman ?
- Euh…Il y a treize ans ton père avait fait un accident de moto. Il a était dans le coma pendant deux mois. Et moi je l’ai attendu, mais un jour un homme m’a gâchée la vie.
Il…Il m’a séduite et j’ai craquée. Quelques mois plus tard j’ai découvert que…que j’étais enceinte…
-Tu veux dire que papa n’est pas mon père ? dis-je très énervée.
- Oui euh…non ce n’est pas…
- Je m’en vais ! »
J’étais très vexée. Comment avait-elle pu me mentir pendant tout ce temps ?

Chapitre 6
« Encore et encore ! »

« Camille, c’est l’heure de se réveiller, un beau weekend s’annonce, s’écria papa. »
J’ai très mal dormis, les paroles de la veille m’on bouleversée et papa qui est si gentil avec moi et avec maman, d’ailleurs est-ce toujours ma maman ? Je m’habillai en vitesse et courait vers la cuisine ; je mourais de faim ! Maman avait achetée des croissants tout chauds et avait fait de bonnes tartines. Mais moi je n’en voulais pas je pris un bol de céréales et montai dans ma chambre. Je ne pouvais plus la voir ! Soudain maman entra et s’assit sur mon pouf.

« Ecoute, tu ne m’as pas laissée le temps de t’expliquer, ce n’est pas toi, j’ai eu un autre enfant…
-Quoi ? Et c’est qui ?
- Je ne sais pas cela fait 10 ans que je ne l’ai pas vu.
- Pourquoi tu ne nous l’a pas dit plus tôt ? me calmai-je. »
Maman ne dit rien, elle pleura puis sortie de la chambre en courant.
J’étais anéantie, non seulement elle nous avait eu un amant et en plus elle avait eu un enfant.
Je m’effondrai sur mon lit et élimina toutes les larmes de mon corps. Tout à coup, on frappa à la porte d’entrée. Je dévalai les escaliers pour aller ouvrir. C’était Mme Grimb, une gentille voisine de 70 ans, qui nous avait apportée quelques légumes de son jardin. Soudain elle dit :
-Pourquoi pleure-tu ma petite ?
- Rien, c’est…c’est maman qui m’a gronder car…car je n’ai pas passée l’aspirateur, nettoyer la salle de bain ni ranger la cuisine.
-Ta mère t’en demande beaucoup aujourd’hui, si tu venais manger chez moi pour faire oublier tout ça à ta maman. De plus, Clarinette et Basson seront contents de te voir.
- D’accord Mme Grimb et merci ! »
Clarinette et Basson sont deux adorables caniches, qui aiment jouer à la balle tout le temps.
Et qui redonnent le sourire à Mme Grimb.



Chapitre 7 :
« Un bel inconnu »

Cela m’avait fait du bien de déjeuner chez Mme Grimb : poulet rôti et frite. En sortant je failli m’évanouir ;
Le beau blond passa dans la rue d’en face. Je le suivis discrètement. Il s’engagea dans un pavillon étroit. Cachée derrière un buisson, je l’observais, une ombre féminine s’approcha de lui et le prit dans ses bras, c’était émouvant. Je ne voyais pas le visage de cette femme mais cela ne me concernait pas. Je m’éclipsai en douceur et dévala la rue Marcel Pagnol.
En rentrant, je vis papa qui regardait la télé et Lucie qui jouer avec ses poupées.
« Papa, maman est là ?
-Non, elle est allée faire des courses car il n’y avait plus d’œufs et de beurre, dit mon père.
-Ah. »
Bonne nouvelle ! Je montai les escaliers et allai dans la chambre parentale. Je fouillai tout les tiroirs mais rien. J’avais déjà essayé de chercher la dernière fois mais en vain. Je rejetai un œil dans l’armoire de maman. Je tombai sur une feuille d’identité appartenant à Ethan Wingshter. « C’est le fils de mon prof principal » pensai-je. Alors, pourquoi maman a-t-elle sa fiche personnel, si elle n’est pas sa…  ? Je crois que je commence à comprendre. Mais je suis terrifiée ! J’ai peur de la réaction de papa quand il va apprendre tout les mensonges de maman…

Chapitre 8 :
« La révélation »

En fait, maman était la maîtresse de M. Wingshter, si je comprends bien, donc, par erreur elle a eu Ethan, l’enfant de treize ans qui a disparu, je pense. J’étais bouleversée. En plus, demain j’allai revoir celui qui a gâché notre famille ! Rien que dit penser cela  me donnait des nausées !
Le lendemain, très agacée, je m’habillai, prit une chocolatine dans la cuisine et me rua à la porte. Je revis encore mon beau blond. Il fallait bien lui avouer mes sentiments, mais je suis trop timide. C’est lui qui s’avança vers moi, il dit :
-Bonjour, on est dans quelle rue ?
-Pa…
-Hé ! »
Je jouais la comédie, faire semblant de s’évanouir ça peut marcher, non ?
Il me rattrapa et me tapota doucement la joue. Je m’éveillai, le regarda longuement avant de lui dire merci et de lui sauter au cou. Il me demanda qui j’étais et ou j’allais je répondis :
« Je m’appelle Camille Duprés, j’ai 12 ans et je vais au collège La Rocal.
-Moi c’est Ethan Wingshter et… Camille réveille toi !
J’étais retombé dans les pommes, mais cette fois-ci pour de vrais ! Ethan m’emmena chez moi (la maison la plus près) et découvris ma mère qui s’affola pour moi et pour lui. Il ne pouvait pas débarquer comme ça ! Maman devait des explications à papa et ce n’était pas gagner !
Papa entra dans le salon où Ethan m’avait délicatement déposée et le regarda :
« C’est toi qui l’a trouvée, demanda- t-il paniqué.
-Oui monsieur.
-Merci mon garçon, comment tu as su que nous  habitions ici ?
-C’était la maison la plus près, monsieur.
-Ah oui je comprends, comment va -telle ?
-Bien, répondit maman inquiète. »
Ethan regarda maman. Il dit :
-Ecoutez, monsieur je suis Ethan Wingshter et c’est moi qui avais disparu. Je…je…je suis le fils de votre femme. »
Papa resta bouche bée, il prit son manteau et sortit énerver. Maman s’effondra en pleure dans les bras d’Ethan. Je me réveillai soudain, en voyant le beau blond et maman l’un contre l’autre.
-Maman ?
-Camille ? Comment vas-tu ?
-Je crois que ça va. Mais qu’est-ce qu’il fait là ?
-Tu le connais ? demanda maman. »
La mémoire me revenait peu à peu.
-Oui, c’est ton fils dont je suis tombée amoureuse, maman !
   

Chapitre 9 :

« Vérité et colère apaisés ? »

Ethan me regarda les yeux pleins de larmes. Maman aussi. Elle me prit dans ses bras et invita Ethan à se joindre à nous. A ce moment là, Lucie entra dans le salon.
« Vous fêtes quoi ?
-Rien ma chérie, dit maman, Camille a eu un petit malaise, c’est tout.
-Ah, et c’est qui le garçon ?
-C’est le sauveur de ta sœur.
-Ah, répondit Lucie.
Je me jetai dans les bras d’Ethan, maman pleurait et Lucie rigolait. Ethan me sera fort contre lui. Soudain, papa rentra et prit ma mère appart :
-Ecoute Hélène, j’aimerai savoir se qui s’est passée ? dit papa en reprenant son souffle.
-Chéri, je suis désolée...mais il y a 13 ans, quand tu étais dans le coma, par erreur, j’ai étais séduite par un homme et je n’ai pas résistée à ses avances. Tous les jours, il m’offrait des fleurs…bref, et un jour j’ai découvert que j’étais enceinte de 3 mois, tu venais juste de sortir de l’hôpital. Alors, quand tu l’as appris tu étais très heureux ! Je t’es fais croire que j’étais enceinte d’un mois. Et un jour j’ai accouchée d’Ethan secrètement et quelques mois après, Camille est arrivée. J’ai confiée le petit a son père qui était divorcé avec quatre enfant et lui avait dit que je ne voulais plus jamais le revoir, à ce moment là je ne me doutais pas que ça serait le prof principal de notre fille. Camille et Ethan ont grandi tout les deux dans mon ventre à trois mois d’intervalle mais n’ont pas le même père. Camille est vraiment ta fille, Jean !
-Excusez-moi d’avoir semé la pagaille au sein de votre famille, monsieur Duprés, bégaie Ethan.
-Ce n’est pas de ta faute, lança papa calmement. »
En entendant le récit de maman, papa ému avait beaucoup réfléchie et avait décidé de pardonner. Mon père avait décidé de parler avec Michel Wingshter. Il était d’accord pour pardonner. Il invita la femme et les quatre enfants de M. Wingshter, Lisa, Arnaud, Coralie et Alexandre à diner. C’était vraiment le meilleur mari et papa du monde mon père !
Ils discutèrent tranquillement de ce qui c’est passé il y a 13 ans pendant que nous, les enfants nous faisions connaissance. Lisa, 8 ans, est une petite fille très vive et qui est très curieuse. Arnaud, 11 ans, gentil et très intelligent quand il veut ! Coralie, 14 ans, toujours dans sa bulle et ne parle presque jamais. Et Alexandre, 17 ans, qui est un savant qui en fait même trop. Il va faire des études de médecine.
Pendant le repas, Annie Wingshter demanda à ma sœur :
« Lucie, tu as quel âge ?
-J’ai 7 ans et demi, madame.
-Bientôt huit, ajouta maman avec un grand sourire.

Chapitre 10 :

Ethan était aussi présent au repas. Je m’éloignais un instant pour lui parler. Ma timidité c’était évanouie. Je lui avouai une deuxième fois mes sentiments, m’approcha de lui et me laissai aller. Jamais cela ne m’était arrivé ! Pour moi, Ethan n’était pas seulement mon demi-frère mais aussi celui que j’aimais.
Nous revenons dans la salle à manger main dans la main. Les parents se regardèrent intrigués. Soudain papa dit :
« Venez les amoureux ! Le dessert est servi. Tout le monde se mit à rire. Cela ne déranger personnes.
Papa, Maman, Lucie, Michel, Annie, Ethan, Alexandre, Coralie, Arnaud, Lisa et moi-même vivions pour l’instant heureux !


Fin

Voila des avis ?

Chapitre 17  (1/2)
La fete des 5emes

Il est 18h30 moi et Tania partons maintenant pour arriver en avance a la fete.
Pendant se temps :
Déliane et Lorenzo , sont deja a la fete et discute.Lorenzo s'absente quelque minute Déliane l'attend. Il a laisser son portable sur la table , Déliane decide de fouiller dedant. Elle vois plusieur appelle a Lina. Quand Lorenzo revien. Déliane lui balance directement.
C'est quoi tous c'est appelle a Lina ?! D'un ton ferme.
Ben c'est rien elle est juste sympas.
Ok peut-etre qu'elle est sympas , mais tes pas son copain tu est le mieu !
Ben non justement plus maintenant.
Quoi ?!
Oui ta bien entendue. Dit-il normalement.
Et par tout de suite apres avoir dit ça.

Tania et moi arrivons , Déliane a l'air triste je me demande pourquoi. Je n'ose pas aller la voir. Jordan et vien d'arriver. Il est trop beau ! Bref Tania a invitée Julian et Noémie , de toute manière eux aussi font partis du college maintenant. Déliane viens me voir.
Alors comme ça c'est toi qui prefere ?!
Tu parle de qui ?
Fait comme si tu ne le savais pas. Je te parle de Lorenzo !
Lorenzo ? C'est quoi le probleme avec Lorenzo ? Lui dit-je.
Non mais tu est Co** ou quoi ? Tu n'as toujours pas remarquer qu'il t'aimer ?!
Euh , tu sais Déliane je me demande si tu n'as pas quelque probleme...
Et je pars. Déliane me regarde d'un air vexer.
Je raconte notre discussion a Tania. Il y a beaucoup de musique , Tania ne m'entand pas beaucoup telement la musique et forte. Ons discute. Jordan m'invite a danser -a chaque fois que c'est un slow, c'est assez bizarre- Mais a chaque fois que moi et Jordan nous dansons ensemble il y a toujours Déliane qui viens me parler , et me dit de la suivre. Je la suis.
Nous somme dans le couloire de l'ecole. Tout a coup : Déliane m'enferme dans un placard étrois. Je cris pour pour quelque vienne , j'entent surtout le rire de Déliane...
Je ne crois pas que quelqu'un m'entenderas avec toute cette musique.

Pendant sa temps a la fete.
Tania dit a Jordan.
Et Jordan sa fait pas un moment que Lina et partie ?
Oui c'est vrai , elle etait partie avec Déliane
Déliane ?! Je suis sur que c'est elle qui lui a fait quelque chose.
Ta raison , faut qu'on aille la chercher.

J'entende des personne dans le couloire. Je cris depuis mon placard .Quelqu'un ouvre le porte - -enfin-.C'est Jordan et Tania...

lisez tout même si c'est dur

L'histoire d'Ange ....

J'étais dans mon box, j'étais heureux. Mais ils sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux hennissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je les ai vu. Derrière eux, il y a avait des cavaliers du club qui pleuraient. Puis j'ai entendu ces mots que n'ai pas compri : On ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien se débarasser de ceux qui ne nous sont pas indispensables. Or, Ange n'a pas eu de très bon résultats aux derniers concours...Ange, c'est moi. Ils m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Canelle, une ponette qui s'était blessée à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long, puis ils nous ont fait descendre dans une cour. Ca sentait bizzare. Le sang, la mort, le crottin .... Puis ils nous on fait monter dans un camion où il y avait déjà une dizaine de chevaux qui ont henni en nous voyant. Mais ce n'était pas un hennissement que je connaissait. C'était un hennissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la Peur, la vraie Peur. Cette Peur que l'on ressent quand on ignore qulque chose de capital. Dans le camion, l'odeur s'est emplifiée. C'était à la limite du supportable. Puis le camion a démaré. Brutalement. On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fais la connaissance du cheval qui était à côté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure à la jambe qui s'infectait peu à peu. Puis ils ont fait monter d'autres chevaux. Pour qu'on se pousse, ils nous ont fouetté. Indy a trébuché, il est tombé et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Après quelques heures de souffrance horribles, il s'est éteint. Puis son corps a commencé à sentir. C'était horrible. Peu à peu, d'autres chevaux se sont éteints. De soif, de faim, de blessures, de désespoir. Enfin, le camion s'est arrêté.Ils ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglée. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'était obligé d'avancer. Dans d'interminables couloir hanté par le sang, la peur, la Mort. J'ai entendu un cheval hennir, j'ai reconnu Canelle. Ma petite Canelle si courageuse. Puis on est arrivé dans une grande salle avec un planché en fer. Puis, ils ont fermé la porte et nous on laissé là. Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Canelle aussi. Puis, un jour, ils sont venue me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurrais eu de bon de ma vie. Ensuite, je suis entré dans une salle oú l'odeur, l'ambiance, m'a fait paniquer. Je me suis cabré, je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, il est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge. J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su. J'ai eu mal au coeur. J'ai fermé les yeux. Noir......

ANGE EST MORT, IL A REJOINT LE PARADIS DES CHEVAUX OU IL A RETROUVER CANELLE ET INDY. CETTE HISTOIRE NE POSSEDE AUCUNE EXAGERATION. TOUT LES JOURS, DES CENTAINES DE CHEVAUX SUBISSENT CA. ALORS SI VOUS AVEZ UN COEUR, MEME DE PIERRE, REAGISSEZ!!! VOUS POUVEZ TOUS FAIRE QUELQUE CHOSE !!!

Il y a des commentaires?

  Léa est vraiment pas moi;
  Moi j'ai fait une histoire nommée:                                                                 
     L'été la plus cool/bof de ma vie!!!

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Prologue: Moi , C'est Léa , et bon euh j'ai 13 ans je vis a levillela.
et oui ca va vous paraitre  bizzare ,....

Chapitre 1 : Le premier jour
Le premier jour d'été maleureusement s'attendait mal.  il allait pleuvoir. je rejoignis ma mère qui était dans sa chambre devant la télé pour regarder les prévisions météo pour cette semaine.   -MALEUR DE MALEUR  sécria-t-elle
-Qui-ya t-il maman?
-il annoncera pas beau cette semaine. Et moi qui comptait aller a la ronde et étendre le linge . elle alla voir mon père toujours énervée.
moi jallais retrouvé ma chienne bonie , de 4 ans et demi. elle me regarda curiosement .
je lui dit-je:
-on aurait eu la chance daller a la ronde.
elle me regarda, interroger.
-il annoncera pas beau cette semaine.
ces yeux valant dire:  oui, mais , peut-être qui fera beau;
-oui , peut-être, comme tu le dis. ce n'est pas toujours vrai ce qu'il dise la dedans;
elle se lecha et se gratta ensuite.
japprochis mon visage dellee et elle de même. je vis tces yeux bruns tous mignons;
elle voulait dire: on va tu dehors, maitnenant?
je lui demandai:
-on va tu dehors?
elle levit sa tête brusquement je me levis de mon lit et elle bondissa hors de mon lit. je la prend dans mes bras et je descendi en bas. et ensuite kevin (l'ami à mon frère de 15 ans)  ouvrit la porte  de la  chambre, prena rapidement son skate, deffala rapidement le rebors de lescalier.
il dit:
-ouah comment sa va ? beauté...
-sa va bien. je maprenais déjà a sortir dehors...

Dernière modification par nathalietrottier (Le 26-05-2013 à 20h32)

Kikoo!

Troooooop beau Litchie !!!! Magnifique , et  qu'elle bonne idées d'écrire sous la forme d'un cheval !! J'.A.D.O.R.E.!!!
Sinon , Herry, Djanisse ,Mathias....., c'est superbe !!! Sinon Enki, comme prénom j'aurais dit Birdie , je pense que ça représente assez bien une fille calme ...

Merci , Enkisheena pour tes conseils , je trouve quelques idées mais rien à poster pour le moment !!! En gros peut-être demain , peut-être pas......

Bref , Bizous tout le monde !!!

SEUL ET AMIE
SEULE DANS L'OBSCURIT
TRITE ET SOMBRE
JE VOIS UNE FILLE
BELE ET GENTILLE
ME PREND PAR LA MAIN
NOUS PARLONS ET JOUIONS
JE SORT DE L'OBSCURITE
JE VAIS DANS LE MONDE AVEC QUEL
JOIYEUX ET MAGNIFIQUE
JE RESTE POUYR L'ETERNITE

ENVOIYER MESSAGE SI VOUS AIMEZ BIEN TOUS LES D2FIS SON ACCEPTE:cro03:

Re kikoo!!


Lolobauls: Ta fait une faute, c'est je dois me déconnect er !!


Je rigole t'inquiète !! xD

Dernière modification par fatou91 (Le 27-05-2013 à 07h34)

Lolobauls a écrit :

Kikoo !

Nathalie' : Cela fait longtemps que je n'ai pas #critiquer# une
histoire. Mais là, il y a beaucoup beaucoup de fautes. Eté n'est
pas féminin, #On va tu dehors ?# là, je n'ai pas compris la question.
Lever au passé Simple : Leva et pas Levit
Bondir au passé simple : Bondit et pas Bondissa
L'ami DE mon frère de 15 ans etc...
Je ne vais pas tout corriger, ce serai trop long. Je te conseille
vraiment de vérifier et corriger tes textes avant de les montrer...

Je lirai les autres histoire plus tard, je dois me déconnectée.

Dernière modification par nathalietrottier (Le 26-05-2013 à 22h45)