Cromimi - Erstes freies virtuelles Haustier Spiel online

Vrai ce poème ! Je suis tout à fait d'accord.

Voici un tout p'tit poème écrit aujourd'hui.


Prisonnier dans son carcan d'horreur,
Jamais d'avis il ne changera,
Car l'hérédité un jour l'y séquestra.
A présent, je n'ai plus peur.

Le sang maudit coule dans mes veines,
Lave bouillante brûlant mes ailes,
M'empêche de m'élancer de la falaise,
Il ne tient qu'à moi de briser la chaîne.

Génération après génération,
Jamais personne ne s'y est confronté,
Terrorisé par la violence et la noirceur,
Plus qu'un choix, la soumission.

Je meurs à petit feu,
Étouffée par le poids du malheur sur mon cœur,
Il faut que je trouve la solution,
Pour me libérer de cet insupportable bâillon.

Marjolaine16 : Tes poèmes aussi sont vraiment magnifiques et je suis encore une fois époustouflée de voir que tu écris des poèmes tous les jours !
Félicitations

Marjolaine16 : Merci ! Wouah ! Ton texte est vraiment très bien écrit ! Tu es douée !

Voilà un petit poème écrit récemment :

« Je t’aime
Mais je sais très bien
Qu’il y a une autre fille
Plus belle,
Plus populaire
Plus athlétique,
Beaucoup mieux que moi
Sous tout les angles.
Je me sens triste,
Affligée d’être
« Une moins qu’elle »,
Pourtant,
Je me dis que si tu me
Refuse ainsi,
Que tu refuses
Mon amour,
Je devrais t’oublier
A jamais.
Mais je sais très bien
Que jamais je
N’arriverais à le faire
Même en essayant tout les
Moyens possibles.
Il y aurait peut être une
Solution :
Que je change totalement
De visage, de caractère.
Je le pourrais,

Mais juste pour un mec
Peut être juste pour une histoire d’amour
Futile et éphémère,
Qui ne dure qu’un jour.
Je ne suis pas sûre que cela en vaille
Le coup.

Les jours et les mois ont passé,
Tu es sorti avec la fameuse fille,
Mais, de mon
Côté,
Je n’ai rien changé,
Car un autre garçon,
Un mec
Vrai,
M’a avouer qu’il
M’aimait, pour
Ce que j’étais,
Ce que je suis
Et pas pour ce que
Je voudrais
Etre. »
Gwen99

Des avis ?

Merci beaucoup

Je n'écris pas tous les jours, mais seulement quand l'inspiration vient. Elle arrive souvent aux mauvais moments (quand je m'endors ou en cours de latin XD)

J'en poste des vieux qui étaient sur l'ancien "talent d'écrivain". (dans le spoiler)

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Adieu
Le soleil nimbe ses cheveux d'un halo doré.
Il caresse sa joue d'un doux baiser céleste.
Il réchauffe son corps, illumine son cœur, et réveille son âme.
Mais ce satiné rayon ne suffit à évincer la glaciale caresse de la mort.
Alors elle sourit et l'étincelle de vie qui l'habitait encore trépasse.
Son âme s'échappe de ce corps qui la retenait prisonnière, et ses yeux bleus se referment.
Pour ne plus s'ouvrir jamais.

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Âmes sœurs

Leurs regards s'accrochent,
Leurs âmes s'enflamment,
Leurs mains se joignent,
Leurs corps s'étreignent passionnément,
Leurs lèvres se touchent...
Unis par leur baiser,
Leurs corps et leurs âmes fusionnent.
Et alors ce ne sont plus deux personnes qui s'aiment à la folie,
Mais un seul être parfait.
Âmes sœurs...

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Jouet abandonné

Œil de verre et jambe cassée,
Cheveux manquants et bras désarticulé,
Eternel air énamouré,
A sa petite maîtresse qui l’a abandonnée.
Tout en elle dit désespoir,
Pour elle, il n’y a plus d’espoir,
Et maintenant qu’elle est seule, son avenir est noir.
Elle gît, sur un tas d’immondices,
Tel un rebut, oublié de tous.
Pourtant, elle se souvient,
Qu’un jour on l’a aimée,
Qu’un jour on l’a soignée,
Mais ce n’est plus qu’un lointain passé,
Celui d’une petite poupée abandonnée.

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Froideur sur la face,
Laideur sous le masque,
On ne voit que ce que l'on désire voir,
Tant de gens sont  perdus dans le noir,
Et ignore les dégâts causés
Par leur propre entité.

Ouvre les yeux et regarde,
L'horreur qu'est l'être humain,
Celui qui un jour te tend la main,
Et aujourd'hui te rabaisse,
Goûtant l'ivresse
                [de la puissance.

Ne fais confiance qu'à toi même,
Choisis le bon chemin,
Celui qui te mènera à demain,
Ne reste pas prisonnier de la haine,
Et surtout,
Aime.

Mes poèmes semblent pessimistes, en fait c'est parce que j'écris souvent quand je suis triste. C'est un moyen comme un autre de se calmer, de se consoler...

Dernière modification par Marjolaine16 (Le 21-03-2012 à 17h07)

gwen99 a écrit :

Marjolaine16 : Merci ! Wouah ! Ton texte est vraiment très bien écrit ! Tu es douée !

Voilà un petit poème écrit récemment :

« Je t’aime
Mais je sais très bien
Qu’il y a une autre fille
Plus belle,
Plus populaire
Plus athlétique,
Beaucoup mieux que moi
Sous tout les angles.
Je me sens triste,
Affligée d’être
« Une moins qu’elle »,
Pourtant,
Je me dis que si tu me
Refuse ainsi,
Que tu refuses
Mon amour,
Je devrais t’oublier
A jamais.
Mais je sais très bien
Que jamais je
N’arriverais à le faire
Même en essayant tout les
Moyens possibles.
Il y aurait peut être une
Solution :
Que je change totalement
De visage, de caractère.
Je le pourrais,

Mais juste pour un mec
Peut être juste pour une histoire d’amour
Futile et éphémère,
Qui ne dure qu’un jour.
Je ne suis pas sûre que cela en vaille
Le coup.

Les jours et les mois ont passé,
Tu es sorti avec la fameuse fille,
Mais, de mon
Côté,
Je n’ai rien changé,
Car un autre garçon,
Un mec
Vrai,
M’a avouer qu’il
M’aimait, pour
Ce que j’étais,
Ce que je suis
Et pas pour ce que
Je voudrais
Etre. »
Gwen99

Des avis ?

Je relance !

Marjolaine16 : Wouah !! Tes textes sont vraiments magnifiques !!! Y a pas à dire, tu es douée !! J'aime beaucoup le premier !

Ouah, pas mal ! Tu étais / tu es  une amoureuse transie ?...

Maintenant je passe aux rédactions...Deux qui datent de la cinquième, et une d'il y a peu de temps. La première, on devait l'écrire à partir d'une image. La deuxième, on devait rédiger un fabliau. Et la troisième, vous l'aurez deviné, sur le fantastique .

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Le mariage de Gauvain
Moi  j’étais juste un vulgaire écuyer, tapi dans l’ombre d’un pilier, qui admirait une scène aussi merveilleuse qu’effroyable. J’étais paré de mes plus beaux atours, ce qui comprenait une cape, une tunique, des chausses, un pantalon,  et enfin une ceinture. Un homme et une femme marchaient vers l’autel. Il s’agissait là d’un mariage. L’endroit où il avait lieu était richement décoré, et pour l’occasion, de somptueuses tapisseries ornaient les murs. Elles étaient pleines de couleurs : rouge, vert, jaune, et surtout bleu. Le sol était fait de carreaux noirs, rouges et blancs, et point d’ornière qui aurait fait trébucher les gens conviés…
Le marié était un beau jeune homme, habillé de blanc, avec un petit chapeau ivoire, un pantalon et des chausses aussi immaculées que la neige. Qu’il était beau ! C’était Gauvain, le soleil de la chevalerie, chevalier de la table ronde, le plus noble de tous, servant le roi Arthur avec fidélité. Il marchait tout droit, sans regarder sa future femme…
Femme était un bien grand mot, car malgré sa divine parure, ce n’était pas une femme, mais un monstre, une naine, avec un nez comme celui d’un cochon, au milieu de sa mâchoire, une seule dent jaune,  des grandes oreilles, de la moustache, des rides disgracieuses. Ses yeux étaient pareils à ceux des rats : petits, vicieux, avides du regard des autres personnes présentes, injectés de sang, et surmontés de gros sourcils broussailleux. Elle était en plus couverte d’ignobles pustules, la calvitie l’atteignait, et  pour couronner le tout elle semblait claudique. De plus, je sentais de la où j’étais son odeur putride, semblable à celle des latrines. Une luxueuse robe de fiançailles dissimulait son corps répugnant. Sa tenue était d’une blancheur éclatante, parsemée de pierres précieuses qui jetaient d'éblouissants éclats. Elle avait été confectionnée dans le plus beau velours du royaume. Elle avait aussi une couronne de houx sur son crâne  chauve ce qui la rendait encore plus ridicule, car sous cette couronne il y aurait du avoir de beaux cheveux longs et  épais.
Les invités étaient tous très bien habillés. Mais on pouvait lire leurs émotions sur leurs visages : ils étaient déçus, dégoûtés, tristes, surpris, étonnés, avaient pitié du marié même. Il y avait aussi quelques bavards qui causaient au fond de la pièce ; certains convives  détournaient la tête, offusqués par la laideur de la mariée, mais sa tenue suscitait l’admiration … Je remarquai aussi une jeune fille à l’air triste, sans doute aimait-elle secrètement  Gauvain, et aurait aimé être à la place de la mariée.
Le couple  marchait vers l’autel, et je ne pus m’empêcher de penser que  l’un tenait la main de la plus horrible mariée du monde et celle-ci la main du plus bel homme qu’elle puisse avoir en tant que mari. C’était à la fois la chance de l’un et la malchance de l’autre. Mais peut-être que sous son horrible  faciès, cette future mariée cachait un cœur d’or…

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Le chevalier naïf

Je vais vous raconter une histoire fort drôle, celle du chevalier Tristan. Messires, croyez-moi, ceci n’est pas un conte,  c’est une histoire vraie, toute vraie.
Le chevalier Tristan n’avait alors pas de quête. Il errait sans but sur les chemins, à la recherche de quelques damoiselles en détresse à secourir, ou de batailles à lesquelles participer.
Tous les soirs,  Tristan retrouvait son ami Réginart à « l’auberge du Bon Chevalier ». Ils étaient tout deux assis  avec chacun un verre d’hypocras. Ils discutaient de tout et de rien, notamment des femmes qui avaient pris leurs cœurs. Tristan avoua être épris de Geneviève, la fille du seigneur de Mesmeur.
« -Elle est magnifique, avec sa chevelure de jais, ses yeux couleur océan, sa bouche pulpeuse et sa peau de pêche ! Et je suis sûr que son esprit n’a d’égal que sa beauté ! dit Tristan, amoureux.
- Mais lui as-tu au moins adressé la parole ? demanda Réginart
-  Non, je ne sais pas comment la séduire. répondit Tristan, l’air triste
- Mais voyons, pour la conquérir, il faut lui jeter de la poudre aux yeux ! conseilla Réginart
- Es-tu sûr que cela marchera ? interrogea Tristan, inquiet
-  Oui, absolument. dit Réginart »
Mais ce que Tristan ne savait pas, c’est que Réginart aimait aussi Geneviève, et qu’il avait volontairement glissé cette expression dans la conversation. En effet, Tristan était beau, mais bête et naïf. Heureusement, il compensait par son courage et sa bonté.
Et notre jeune chevalier partit se coucher dans l’hostellerie la plus proche. Mais il était si nerveux qu’il se tourna et se retourna dans son lit sans réussir à sombrer dans les bras de Morphée. Le lendemain matin, il était debout à  l’aube, les yeux bouffis car il n’avait point dormi, mais vêtu de ses plus beaux atours. Il se précipita au château du seigneur de Mesmeur, et demanda à un domestique d’avertir la damoiselle de sa présence. Geneviève le fit entrer, et le conduisit dans un petit salon où brûlait un chaleureux feu dans l’immense cheminée en pierres sculptées. Elle le fit asseoir dans un luxueux fauteuil, et s’installa dans celui qui était en face.
« - Et bien chevalier, que me vaut l’honneur de votre visite ? dit Geneviève
-Ceci ma dame. répondit Tristan. »
Et il détacha prestement une bourse qui était attachée à sa ceinture, la vida dans sa main, et jeta son contenu aux yeux de la jeune femme. Celle-ci poussa un cri perçant, et furieuse, lui hurla :
«- Mais vous êtes aliéné ! Sortez de ma demeure !!
-Que nenni point. On m’a dit de venir vous jeter de la poudre aux yeux pour vous séduire dit Tristan, penaud »
Il lui conta toute son aventure, et finalement  Geneviève en rit.
« -Messire, quand l’on dit que l’on « jette de la poudre aux yeux de quelqu’un », c’est qu’on l’impressionne en mettant en avant des exploits que l’on a réalisés. expliqua Geneviève »
Geneviève avait tant rit de ce malentendu qu’elle demanda à Tristan de lui rendre visite souvent.  Elle en tomba finalement amoureuse, et deux mois plus tard ils se marièrent. Ils formaient un très beau couple, et la jeune femme expliquait à son mari tout ce qu’il ne comprenait pas. Quant à Réginart, il regretta toujours d’avoir berné son ami, car le destin avait retourné la situation contre lui .
C’est ainsi que se termine l’histoire du chevalier Tristan. Cette aventure, Messires, vous le montre encore une fois : tel est pris qui croyais prendre, et méfiez-vous de l’eau qui dort…

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Voilà bientôt un mois que j'ai assisté à des événements aussi étranges qu'inexplicables.

Je passais alors la soirée chez une amie, Margaux, et ses parents n'étaient pas présents.

Sa maison, très grande et surtout très ancienne, m'angoissait. C'était sans doute parce que Margaux m'avait raconté de nombreuses histoires d'horreur sur sa demeure. Un de ses ancêtres se serait même donné la mort dans la pièce, qui, aujourd'hui, était la chambre de mon amie. Par la suite la femme de cet homme serait devenue folle, et prétendait que la maison était douée de vie.

Nous feuilletions dans magazines quand j'eus soudain l'impression d'être observée. Je me levai, et brusquement le sol se mit à trembler. Je perdis l'équilibre et tombai à terre.

Margaux hurla et s'accrocha à son lit pour ne pas tomber comme je venais de le faire. La secousse cessa aussi vite qu'elle avait commencé. Nous n'eûmes pas le temps de nous demander ce qui l'avait causée, car les murs, dans un effroyable craquement, se resserrèrent sur nous. Margaux fonça vers la porte, et en tourna la poignée. Elle me regarda, et la peur assombrit son visage. La porte était verrouillée. La superficie de la chambre avait déjà diminué. Les cloisons continuaient leur rapide et mortelle progression. Nous allions mourir écrasées !

Soudain, une idée me vint : et si, comme le prétendait l'ancêtre folle de Margaux, la maison vivait ?

Le noir régnait maintenant dans la pièce. A tâtons, j'attrapais un crayon et écrivis sur le mur « Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? »
Une lueur bleue, surnaturelle, éclaira une cloison. Des lettres, comme tracées par des griffes invisibles, apparurent lentement. Mon cœur battait la chamade. Margaux et moi hurlâmes à l'unisson en les lisant « Je suis moi. Je veux vous réduire au silence éternel. »

Terrifiées par ces derniers mots, nous donnâmes de violents coups de pieds à la porte, qui, miraculeusement, s'ouvrit. Nous sortîmes de cette chambre maudite à toute vitesse.

Nous courions dans le couloir, pour atteindre la porte qui menait au jardin, quand tous les portraits des ancêtres de Margaux se décrochèrent des murs. Leurs yeux tout à l'heure emplis de sagesse et de bienveillance nous lançaient à présent des regards menaçant. Leurs bouches se tordaient en d'affreux rictus ou nous adressaient des sourires sardoniques. Ils tournaient autour de nous, dangereuse et cauchemardesque farandole qui nous aveuglait. Le tapis d'Orient qui cachait le parquet usé se mit à onduler, ralentissant encore plus notre course. Margaux, livide, semblait sur le point de s'évanouir. Quant à moi, mon souffle rauque et mes jambes flageolantes me montraient que je ne pourrais plus courir très longtemps.

Alors que nous atteignions enfin la porte, les vitres explosèrent, répandant du verre partout.

Le silence se fit. Je poussai un soupir de soulagement.

Un léger chuintement  retentit, et au même moment Margaux ouvrit la porte et me poussa dehors.

Appuyée sur les coudes, le dos contre l'herbe humide, j'aperçus la lame d'acier tranchant pendant du plafond qui aurait bien pu me tuer si Margaux n'avait pas réagis aussi promptement.

Je serrai mon amie dans mes bras, et l'angoisse, main de fer qui m'étreignait la poitrine, disparut.



Nous n'avons plus jamais parlé de cette horrible soirée,  mais je sais qu'à présent nous sommes encore plus liées par ce secret, et que maintenant Margaux ne dormira plus sur ses deux oreilles...

Marjolaine16 : On peut dire ça ! Mais bon, bien sûr, je me suis inspiré d'une réelle personne pour écrire mes poèmes ...

Sinon, pour tes textes, je dois dire que je suis soufflée ! Ils sont super !! (PS : Moi aussi, je devais faire une rédaction sur un fabliau !)

Bon, voici encore un poème :

Spoiler (Cliquez pour afficher)

« Un jour,
Tu m’as quittée.
J’ai eu le cœur
Brisé, déchiré
En milles morceaux.
Des larmes ont roulé
Sur mes joues,
Mais tu n’y as pas fait attention
Non,
Tu étais trop occupé à
Admiré la nouvelle fille
Qui te faisait craquer
Alors, seule
Et sans plus personne sur qui compter
Je me suis retrouvée.

Les jours et les mois sont
Passé,
Mais je n’ai cessé
De t’aimer,
Je ne t’ai oublié
Amère j’étais devenue
A ton sujet.

Et puis, un jour
Je remarquai
Qu’un garçon m’observait,
Gênée je me suis sentie,

Mais aussi heureuse qu’un autre mec
Puisse encore me regardait de cette façon.
Une façon dévorante, où tu te laisse faire sans
Jamais lutté.
Le fameux garçon s’est approché
Et d’une douce voix,
M’a murmuré
« Je t’aime ».
Je me suis sentie alors
Revivre,
Ton regard cherchait le mien,
Espérant y trouver la réponse
Que tu avais d’entendre.
Même si je ne te connaissais que
Depuis quelques instants
Je tombai sous le
Charme
D’un garçon aussi simple
Que l’autre
Etais snob
Mon cœur se mit à
Battre plus fort,
A battre pour toi. »
Gwen99

Et un autre poème, récemment écrit :

Spoiler (Cliquez pour afficher)

« Je t’ai dit :
Je t’aime.
Tu m’as répondu, totalement
Indifférent à mes sentiments :
Moi non.
Alors, le cœur meurtrit
J’ai voulu essayer de t’oublier
Mais, je n’y parvenais
Pas.
Chaque fois que
Je te croisais dans
Un couloir, dans la cour
N’importe où,
Mon cœur se remettais à
Battre pour
Toi,
Car même
Si mon subconscient,
Ne te reconnais plus
Mon cœur, lui
N’a pas envie de t’oublier
Car, tu m’as appris à t’aimer
Mais pas à
T’oublier ».
    Gwen99

Avis ?

Dernière modification par gwen99 (Le 21-03-2012 à 17h41)

c,est vraiment bien ce que vous faite j,adore:cro11:

Bonjour !
J'ai beaucoup aimés vos écrits, Marjolaine et Gwen. Vous avez du talent, et quel talent !

Je posterais peut-être un de mes textes plus tard.

Bonne soirée.

gwen99 a écrit :

Marjolaine16 : Merci ! Wouah ! Ton texte est vraiment très bien écrit ! Tu es douée !

Voilà un petit poème écrit récemment :

« Je t’aime
Mais je sais très bien
Qu’il y a une autre fille
Plus belle,
Plus populaire
Plus athlétique,
Beaucoup mieux que moi
Sous tout les angles.
Je me sens triste,
Affligée d’être
« Une moins qu’elle »,
Pourtant,
Je me dis que si tu me
Refuse ainsi,
Que tu refuses
Mon amour,
Je devrais t’oublier
A jamais.
Mais je sais très bien
Que jamais je
N’arriverais à le faire
Même en essayant tout les
Moyens possibles.
Il y aurait peut être une
Solution :
Que je change totalement
De visage, de caractère.
Je le pourrais,

Mais juste pour un mec
Peut être juste pour une histoire d’amour
Futile et éphémère,
Qui ne dure qu’un jour.
Je ne suis pas sûre que cela en vaille
Le coup.

Les jours et les mois ont passé,
Tu es sorti avec la fameuse fille,
Mais, de mon
Côté,
Je n’ai rien changé,
Car un autre garçon,
Un mec
Vrai,
M’a avouer qu’il
M’aimait, pour
Ce que j’étais,
Ce que je suis
Et pas pour ce que
Je voudrais
Etre. »
Gwen99

Des avis ?

Wouh, je suis étonnée, c'est vraiment MAGNIFIQUE ! Vraiment, tu es très très douée je te le dis !

gwen99 a écrit :

Marjolaine16 : On peut dire ça ! Mais bon, bien sûr, je me suis inspiré d'une réelle personne pour écrire mes poèmes ...

Sinon, pour tes textes, je dois dire que je suis soufflée ! Ils sont super !! (PS : Moi aussi, je devais faire une rédaction sur un fabliau !)

Bon, voici encore un poème :

Spoiler (Cliquez pour afficher)

« Un jour,
Tu m’as quittée.
J’ai eu le cœur
Brisé, déchiré
En milles morceaux.
Des larmes ont roulé
Sur mes joues,
Mais tu n’y as pas fait attention
Non,
Tu étais trop occupé à
Admiré la nouvelle fille
Qui te faisait craquer
Alors, seule
Et sans plus personne sur qui compter
Je me suis retrouvée.

Les jours et les mois sont
Passé,
Mais je n’ai cessé
De t’aimer,
Je ne t’ai oublié
Amère j’étais devenue
A ton sujet.

Et puis, un jour
Je remarquai
Qu’un garçon m’observait,
Gênée je me suis sentie,

Mais aussi heureuse qu’un autre mec
Puisse encore me regardait de cette façon.
Une façon dévorante, où tu te laisse faire sans
Jamais lutté.
Le fameux garçon s’est approché
Et d’une douce voix,
M’a murmuré
« Je t’aime ».
Je me suis sentie alors
Revivre,
Ton regard cherchait le mien,
Espérant y trouver la réponse
Que tu avais d’entendre.
Même si je ne te connaissais que
Depuis quelques instants
Je tombai sous le
Charme
D’un garçon aussi simple
Que l’autre
Etais snob
Mon cœur se mit à
Battre plus fort,
A battre pour toi. »
Gwen99

Et un autre poème, récemment écrit :

Spoiler (Cliquez pour afficher)

« Je t’ai dit :
Je t’aime.
Tu m’as répondu, totalement
Indifférent à mes sentiments :
Moi non.
Alors, le cœur meurtrit
J’ai voulu essayer de t’oublier
Mais, je n’y parvenais
Pas.
Chaque fois que
Je te croisais dans
Un couloir, dans la cour
N’importe où,
Mon cœur se remettais à
Battre pour
Toi,
Car même
Si mon subconscient,
Ne te reconnais plus
Mon cœur, lui
N’a pas envie de t’oublier
Car, tu m’as appris à t’aimer
Mais pas à
T’oublier ».
    Gwen99

Avis ?

Je relance !

Ni-Snoo : Merci !
Gadrianne : Merci beaucoup, c'est très gentil de ta part !! Moi aussi, je te trouve très douée avec tes poèmes !

Le lapin de pâque (partie 2)


Jade a ouvert ces volets et là dehors il y a un lapin blanc qui ressemble a neige elle se demande qui ces puis elle reconer neige qui pose des oeufs en chocolat donc elle vient de découvrir qui  elle est elle le lapin de pâque ....


Fin j'espère que sa vous a plus .
bisous merci

Bonjour, voici un poème/une poésie que j'ai écris :

                                               L'arc-en-Ciel :

Il t'éblouit de mille couleurs
Quand tu pleurs.
Il rayonne ton sourire
Quand je te fais rire.

Il empoisonne mon coeur
Quand j'ai peur.
Il pense à la vedette
Qu'il regrette.

Il ne pense qu'à toi
Quand tu n'es pas là.
Il adore les lapins
Qui le réveillent le matin.

Il parle avec le léopard
Qui lui fait perdre sa mémoire.
Il ouvre ses yeux
Quand tu lui jettes des oeufs.

Il aime sa famille
Car il est très gentil.
Il rit aux éclats
Sauf quand je ne suis pas là.

Justine alias star254.

star254 a écrit :

Bonjour, voici un poème/une poésie que j'ai écris :

                                               L'arc-en-Ciel :

Il t'éblouit de mille couleurs
Quand tu pleurs.
Il rayonne ton sourire
Quand je te fais rire.

Il empoisonne mon coeur
Quand j'ai peur.
Il pense à la vedette
Qu'il regrette.

Il ne pense qu'à toi
Quand tu n'es pas là.
Il adore les lapins
Qui le réveillent le matin.

Il parle avec le léopard
Qui lui fait perdre sa mémoire.
Il ouvre ses yeux
Quand tu lui jettes des oeufs.

Il aime sa famille
Car il est très gentil.
Il rit aux éclats
Sauf quand je ne suis pas là.

Justine alias star254.

Cool , j'aime beaucoup , amoi de faire une poésie, mais sur les anges et les bébé demons !

Les anges & les p'tits démons


Dans un pays lointain
ou vivais des petit être malin
nommé les p'tits démons....
c'est vrai qu'ils étaient mignon
mais pas tres gentil
avec le paradis
ou vivaient les anges....
Ni dans un grange
ni dans une cave
mais s'est pas grave....
Car leur pays s'est les nuages
la ou il n'y a ni rage
ni colère
et ni un seul esprit de l'enfer
Les petits démons
sont tres coquets
Et sa ne sens pas bon
quand ils se mettent a rigoler
par apport aux anges
de là , range
range tes remords.....
rêve , et dort......


Avis ?!

Natsu' : Oui, s'est bien....

gwen : j'adore

marjolaine16 : j'adore tes texte !

écrit par marjolaine16 :

Vrai ce poème ! Je suis tout à fait d'accord.

Voici un tout p'tit poème écrit aujourd'hui.


Prisonnier dans son carcan d'horreur,
Jamais d'avis il ne changera,
Car l'hérédité un jour l'y séquestra.
A présent, je n'ai plus peur.

Le sang maudit coule dans mes veines,
Lave bouillante brûlant mes ailes,
M'empêche de m'élancer de la falaise,
Il ne tient qu'à moi de briser la chaîne.

Génération après génération,
Jamais personne ne s'y est confronté,
Terrorisé par la violence et la noirceur,
Plus qu'un choix, la soumission.

Je meurs à petit feu,
Étouffée par le poids du malheur sur mon cœur,
Il faut que je trouve la solution,
Pour me libérer de cet insupportable bâillon.

J'adore

Dernière modification par The-Vocaloid (Le 24-03-2012 à 19h53)

Coucou,

Petite histoire (pas tant que ça ):

Il était une fois une très jolie jeune femme,si belle que les autres filles tremblaient devant elle...Les garçons craquaient totalement pour elle...
Mais les garçons qui étaient à ses pieds ne l'intéressaient pas...C'était trop facile...
Elle habitait chez une grand-mère qui avait bien voulut la loger seulement si elle se rendait utile.La maison se situait face à la mer...Ainsi la jeune fille partait regarder le coucher de soleil  chaque jour...
Un jour un garçon jaillit à côté d'elle.
-C'est magnifique n'est-ce pas?
-A qui le dites-vous!
-Ne me vouvoie pas!Je déteste ça!Apelle moi Marc.Et vous êtes?
-Une fille.
-Mais votre prénom?
-Je ne parle quasiment jamais à personne sauf à la grand-mère qui me loge...C'est ma confidente ou alors à mon patron.Alors vous avez bien de la chance si je vous parle aujourd'hui mais ce sera la dernière fois...
Ainsi le jeune femme changea de coin.
Quand le soleil laissa place à la nuit,la jolie jeune femme rentra chez la grand-mère.
-Bonsoir Aphrodite.
-Bonsoir Mme.Lyncé.
-Que mange-t'on se soir?
-De la purée et du cordon bleu.
-De la purée?Je déteste ça!!!
Mme Lyncé avança son fauteuil roulant vers Aphrodite et lui écrasa le pied et en lui plaçant un couteau sous le menton.
-Madame vous êtes imbuvable!
Mme Lyncé enfonça son couteau un peu plus.
-Prépare moi quelque chose de meilleur tout de suite!!!
Et elle poussa Aphrodite d'une main contre le mur où elle s'écroula par-terre. L'horrible vieille dame fit marche arrière et alla dans le salon en chantonant du Elivis Presley.
Aphrodite se leva et partit dans la cuisine et se mit au fourneau.Comme elle cuisinait très bien elle trouva un moyen de transformer sa purée en petit croquant à la pomme de terre.
-Madame Lyncé?Votre repas est prêt!
La vieille roula jusqu'à la table et se mit à manger sans attendre Aphrodite.
-Dis-moi,Aphrodite pourquoi tes parents t'ont-ils donné le nom ridicule qu'est Aphrodite?
-Je n'ai jamais connu mes parents madame,je ne sais donc pas pourquoi.
Aphrodite se jeta vers la fenêtre...On l'épiait.
-Qui a-t'il Aphrodite?Tu n'es tout de mêma pas paranoïaque?
-Moi?Non pas du tout?J'avais juste l'impression qu'on nous espionnait.
-Viens donc à table.
Aphrodite pris une chaises s'assise,mangea et alla au lit...Enfin pas toutes à fait comme sa chambre se trouvait au grenier elle monta sur le toit.
Un homme se trouvait encore face à la mer.
Aphrodite s'endormit sur le toit.
Le lendemain elle descendit pour préparer le déjeuner de Mme Lyncé qui dormait encore.
Quand se fut finit Aphrodite prit sa veste et partit au travail.
Aphrodite venait juste d'arrêter l'école et s'était mise au travail.Un travail qu'elle trouva à la bibliothéque municipale.
Elle y entra et vit son patron qui était adorable et qui lui avait préparé un thé.
-Mon petit Lotus?Je t'ai préparée un thé,je me suis douté que ta vieille sorcière ne t'aurais pas laisser cinq minutes à toi pour manger un petit peu.
-Merci M.Higoshua.
Et Aphrodite se mit au boulot.Quel plaisir de travailler dans un endroit silencieux...C'était l'un des seul endroit où elle se sentait bien...
En fin de matinée un premier client entra dans la bibliothèque.
-Bonjour mademoiselle,je cherche une certaine Aphrodite.
-Connais pas.
Aphrodite continua de ranger les livres...
-Mais...Mais...Mais c'est vous!La fille d'hier soir!dis Marc.
-Mon étoile filante?Qui te parle?demanda M.Higoshua depuis son bureau.
-Ce n'est rien monsieur,excusez-moi de vous avoir déranger.
-Ce n'est pas grave!
Aphrodite fit signe à Marc de se taire.Il se mit à chuchoter:
-Je t'ai trouver du travail.
-Veuillez vous taire je vous ai dis que je ne vous parlerez plus!
-Mais...
-J'ai déjà un travail!
-Dans la plus grande bibliothèque du pays!Dans la capitale!
-Je suis bien ici avec monsieur Higoshua.
-Mais vous n'êtes pas bien avec Mme Lyncé!
-Si je suis très bien!Lâchez-moi!
Et là Marc prit Aphrodite dans ses bras et l'embrassa.Elle le repoussa de sa main et le regarda pour la première fois et là...
Ils se marièrent et eurent deux enfants...

FINQuoique...Je suis pas sûr je vais peut-être faire une suite...

Dernière modification par nini-lulu (Le 27-03-2012 à 20h00)

nini-lulu a écrit :

Coucou,

Petite histoire (pas tant que ça ):

Il était une fois une très jolie jeune femme,si belle que les autres filles tremblaient devant elle...Les garçons craquaient totalement pour elle...
Mais les garçons qui étaient à ses pieds ne l'intéressaient pas...C'était trop facile...
Elle habitait chez une grand-mère qui avait bien voulut la loger seulement si elle se rendait utile.La maison se situait face à la mer...Ainsi la jeune fille partait regarder le coucher de soleil  chaque jour...
Un jour un garçon jaillit à côté d'elle.
-C'est magnifique n'est-ce pas?
-A qui le dites-vous!
-Ne me vouvoie pas!Je déteste ça!Apelle moi Marc.Et vous êtes?
-Une fille.
-Mais votre prénom?
-Je ne parle quasiment jamais à personne sauf à la grand-mère qui me loge...C'est ma confidente ou alors à mon patron.Alors vous avez bien de la chance si je vous parle aujourd'hui mais ce sera la dernière fois...
Ainsi le jeune femme changea de coin.
Quand le soleil laissa place à la nuit,la jolie jeune femme rentra chez la grand-mère.
-Bonsoir Aphrodite.
-Bonsoir Mme.Lyncé.
-Que mange-t'on se soir?
-De la purée et du cordon bleu.
-De la purée?Je déteste ça!!!
Mme Lyncé avança son fauteuil roulant vers Aphrodite et lui écrasa le pied et en lui plaçant un couteau sous le menton.
-Madame vous êtes imbuvable!
Mme Lyncé enfonça son couteau un peu plus.
-Prépare moi quelque chose de meilleur tout de suite!!!
Et elle poussa Aphrodite d'une main contre le mur où elle s'écroula par-terre. L'horrible vieille dame fit marche arrière et alla dans le salon en chantonant du Elivis Presley.
Aphrodite se leva et partit dans la cuisine et se mit au fourneau.Comme elle cuisinait très bien elle trouva un moyen de transformer sa purée en petit croquant à la pomme de terre.
-Madame Lyncé?Votre repas est prêt!
La vieille roula jusqu'à la table et se mit à manger sans attendre Aphrodite.
-Dis-moi,Aphrodite pourquoi tes parents t'ont-ils donné le nom ridicule qu'est Aphrodite?
-Je n'ai jamais connu mes parents madame,je ne sais donc pas pourquoi.
Aphrodite se jeta vers la fenêtre...On l'épiait.
-Qui a-t'il Aphrodite?Tu n'es tout de mêma pas paranoïaque?
-Moi?Non pas du tout?J'avais juste l'impression qu'on nous espionnait.
-Viens donc à table.
Aphrodite pris une chaises s'assise,mangea et alla au lit...Enfin pas toutes à fait comme sa chambre se trouvait au grenier elle monta sur le toit.
Un homme se trouvait encore face à la mer.
Aphrodite s'endormit sur le toit.
Le lendemain elle descendit pour préparer le déjeuner de Mme Lyncé qui dormait encore.
Quand se fut finit Aphrodite prit sa veste et partit au travail.
Aphrodite venait juste d'arrêter l'école et s'était mise au travail.Un travail qu'elle trouva à la bibliothéque municipale.
Elle y entra et vit son patron qui était adorable et qui lui avait préparé un thé.
-Mon petit Lotus?Je t'ai préparée un thé,je me suis douté que ta vieille sorcière ne t'aurais pas laisser cinq minutes à toi pour manger un petit peu.
-Merci M.Higoshua.
Et Aphrodite se mit au boulot.Quel plaisir de travailler dans un endroit silencieux...C'était l'un des seul endroit où elle se sentait bien...
En fin de matinée un premier client entra dans la bibliothèque.
-Bonjour mademoiselle,je cherche une certaine Aphrodite.
-Connais pas.
Aphrodite continua de ranger les livres...
-Mais...Mais...Mais c'est vous!La fille d'hier soir!dis Marc.
-Mon étoile filante?Qui te parle?demanda M.Higoshua depuis son bureau.
-Ce n'est rien monsieur,excusez-moi de vous avoir déranger.
-Ce n'est pas grave!
Aphrodite fit signe à Marc de se taire.Il se mit à chuchoter:
-Je t'ai trouver du travail.
-Veuillez vous taire je vous ai dis que je ne vous parlerez plus!
-Mais...
-J'ai déjà un travail!
-Dans la plus grande bibliothèque du pays!Dans la capitale!
-Je suis bien ici avec monsieur Higoshua.
-Mais vous n'êtes pas bien avec Mme Lyncé!
-Si je suis très bien!Lâchez-moi!
Et là Marc prit Aphrodite dans ses bras et l'embrassa.Elle le repoussa de sa main et le regarda pour la première fois et là...
Ils se marièrent et eurent deux enfants...

FINQuoique...Je suis pas sûr je vais peut-être faire une suite...

C'est bien mais il  y a beaucoup trop de répétition !

  Automnale

L’été s’en est allé aux dernières vendanges.
Chaque soir le soleil se meurt un peu plus tôt.
Le bleu du ciel pâlit. Le merle et la mésange
Ont déjà déserté la fontaine aux oiseaux.

Le grand chêne attristé laisse pleurer ses feuilles
Que le vent plus hardi conduit à leur trépas.
Elles ont recouvert le sol qui les recueille
D’un tapis mordoré qui craque sous les pas.

L’abeille ne boit plus au calice des roses.
Le papillon de mai ne s’éveillera pas. Le jardin fatigué paresse, se repose,
Avant que d’affronter décembre et ses frimas.

L’hirondelle a rejoint des aurores lointaines.
La fumée, sur le toit, danse au rythme du vent.
Quand la brume du soir emprisonne la plaine,
Le vol des souvenirs s’alanguit doucement.

leslie : quel talent

nini-lulu : j'adore

0nats' : m'ouais, sa va encore

star : j'aime beaucoup ' l'arc-en-ciel' sa fais tres poetique vers des moment

gwen99 : que dire ????

Un ciel gris,
Larmes qui brillent,
Fraîcheur estivale,
Bonheur pluvial.

Sous ce rideau mouillé,
Un homme, isolé,
Il marche droit devant,
Il est dans son élément.

Tous autour de lui,
Ont ouvert leurs parapluies,
Mais il est à visage découvert,
Rien ne pourrait plus lui plaire.

Les gouttes ruisselantes sur son visage,
Masquent de la même façon ses pleurs,
Il continue à marcher pendant des heures,
Prenant la direction d'un rivage.

Des gens l'interpellent,
Il les ignore de plus belle,
La distance est ténue,
Lieue après lieue il avance pieds nus…

La tempête des éléments s'enrage,
Et voilà qu'arrive à son tour l'orage,
Ça ne change strictement rien,
Les yeux fermés il pourrait faire le chemin.

Le goudron laisse place au sable,
Le sable s'efface devant la mer,
Et l'homme se couche par terre,
Il prie pour qu'on lui guérisse l'insoignable.

Il sait que ça n'arrivera pas,
Alors il se relève et se traîne tout droit,
Il se sent attiré par cette étendue d'eau,
Ce qu'il désire c'est la sentir sur sa peau…

Cette personne ne sait pas nager,
Mais il poursuit son avancée,
Rien ne pourrait être pire,
Alors il décide de mourir.

Fin de l'humeur boudeuse du ciel,
Voilà qu'arrive timidement le soleil,
Personne ne revit cet individu,
On ne le reverra plus.

Avis ?! Mais j'sais pas comment nommé se poème, vous savez vous ?

L'arriver du printemps :

Les bourjons vont souvrire
Moi je vais sourire
Les petit abeille ,
Vont buttiner le miel
Je vais enlever cette pile de vétement
Pour m'assoir dans ce jardin tranquillement
Le printemps arrive mon anniversaire
J'adore le printemps mais l'hiver c'est le contraire
Les animaux vont sortir de leur hibernation
Pour ce remettre a leur fonction
Les couleurs vont revenir ,
Pour que moi je reviens à mes souvenirs ..

Merci !!
   

Fat-Prunelle a écrit :

L'arriver du printemps :

Les bourjons vont souvrire
Moi je vais sourire
Les petit abeille ,
Vont buttiner le miel
Je vais enlever cette pile de vétement
Pour m'assoir dans ce jardin tranquillement
Le printemps arrive mon anniversaire
J'adore le printemps mais l'hiver c'est le contraire
Les animaux vont sortir de leur hibernation
Pour ce remettre a leur fonction
Les couleurs vont revenir ,
Pour que moi je reviens à mes souvenirs ..

Merci !!
   

Ooooooooooh..... comme c'est joli

Any-La' : j'adore

0Nat' : c'est bien, mais tu peut t'ameliorer

nini-lulu : j'aime j'aime j'aime  beaucoup

j'adore

Voici mon histoire :

l y a dans toutes les tribus des histoires pas courantes. Le monde de la moto en a aussi son lot. Et parmi toutes ces histoires il y en a une dont je voulais vous parler depuis un moment : celle d'une Desmosedici RR. Pour ceux qui sortiraient juste aujourd'hui d'hibernation, la Desmosedici RR c'est la Ducati de GP de la saison 2005 à laquelle l'usine a adapté des rétros, des clignotants, un support de plaque et tout le reste du matériel pour en faire une moto street-legal. Plus de 200 chevaux pour 170 kilos, autant dire que les sensations devaient être au rendez-vous. A ceci prêt que peu de gens pouvaient espérer les ressentir un jour, tant le prix de vente et le peu d'exemplaires fabriqués réservaient cet engin à un tout petit nombre de motards.

bella

Sauf que dans ceux ayant eu à la fois les moyens et l'envie de s'offrir cette machine si exceptionnelle, il y avait Pierre C. Alors que d’autres se seraient contentés d’exposer cette beauté unique dans leur salon, sous une cloche en verre à l’humidité contrôlée, il eut une autre idée. Il effectua le rodage de sa Desmosedici RR et partit à son guidon faire un tour de France à la rencontre d’autres motards, pour la leur faire essayer. Et quand je vois ma propre réticence à prêter ma brèle qui n'a pourtant rien de l'objet de collection, je mesure la générosité qu'il y avait à permettre à des anonymes de piloter cet objet si rare et si précieux. On peut imaginer sans peine, ce que fut ce tour de France, et le plaisir qu’il distillat à tous ces gens, ceux qui une fois dans leur vie avaient l’occasion de conduire un tel engin, et celui qui pendant ce périple pu leur faire croire quelques minutes que contrairement à ce qu’ils croyaient avoir découvert vers 7 ou 8 ans, oui le Père Noël existe.

Mais la vie, ça n’est pas un film américain et parfois les plus belles histoires peuvent mal se terminer. Le week-end dernier Pierre C s’est fait voler sa moto dans son box. Alors bien sûr, une moto n’est qu’un objet, il n’y a pas mort d’homme. Mais ce geste me parait d’autant plus cruel qu’il touche quelqu’un ayant fait preuve d’une remarquable générosité.
Alors comme pour un tableau de maître volé, qui finit toujours par ressortir à un moment, je lui souhaite de retrouver un jour ou l’autre cette moto qui doit probablement être celle parmi les plus précieuses ayant fait le plus de kilomètres et ayant été chevauchée par le plus grand nombre. Après tout, une histoire si rare n’est peut-être pas encore finie d’écrire.

Au cas où, si par miracle vos yeux devaient tomber dessus, voilà de quoi aider son propriétaire à la récupérer. Le lien vers son blog


Avis ?!

Dernière modification par 0Natsu0 (Le 28-03-2012 à 09h01)

Nakashima2 a écrit :

Fat-Prunelle a écrit :

L'arriver du printemps :

Les bourjons vont souvrire
Moi je vais sourire
Les petit abeille ,
Vont buttiner le miel
Je vais enlever cette pile de vétement
Pour m'assoir dans ce jardin tranquillement
Le printemps arrive mon anniversaire
J'adore le printemps mais l'hiver c'est le contraire
Les animaux vont sortir de leur hibernation
Pour ce remettre a leur fonction
Les couleurs vont revenir ,
Pour que moi je reviens à mes souvenirs ..

Merci !!
   

Ooooooooooh..... comme c'est joli

Any-La' : j'adore

0Nat' : c'est bien, mais tu peut t'ameliorer

nini-lulu : j'aime j'aime j'aime  beaucoup

Merci le printemps c'est ma sésont préférée !

Leslie1995 a écrit :

nini-lulu a écrit :

Coucou,

Petite histoire (pas tant que ça ):

Il était une fois une très jolie jeune femme,si belle que les autres filles tremblaient devant elle...Les garçons craquaient totalement pour elle...
Mais les garçons qui étaient à ses pieds ne l'intéressaient pas...C'était trop facile...
Elle habitait chez une grand-mère qui avait bien voulut la loger seulement si elle se rendait utile.La maison se situait face à la mer...Ainsi la jeune fille partait regarder le coucher de soleil  chaque jour...
Un jour un garçon jaillit à côté d'elle.
-C'est magnifique n'est-ce pas?
-A qui le dites-vous!
-Ne me vouvoie pas!Je déteste ça!Apelle moi Marc.Et vous êtes?
-Une fille.
-Mais votre prénom?
-Je ne parle quasiment jamais à personne sauf à la grand-mère qui me loge...C'est ma confidente ou alors à mon patron.Alors vous avez bien de la chance si je vous parle aujourd'hui mais ce sera la dernière fois...
Ainsi le jeune femme changea de coin.
Quand le soleil laissa place à la nuit,la jolie jeune femme rentra chez la grand-mère.
-Bonsoir Aphrodite.
-Bonsoir Mme.Lyncé.
-Que mange-t'on se soir?
-De la purée et du cordon bleu.
-De la purée?Je déteste ça!!!
Mme Lyncé avança son fauteuil roulant vers Aphrodite et lui écrasa le pied et en lui plaçant un couteau sous le menton.
-Madame vous êtes imbuvable!
Mme Lyncé enfonça son couteau un peu plus.
-Prépare moi quelque chose de meilleur tout de suite!!!
Et elle poussa Aphrodite d'une main contre le mur où elle s'écroula par-terre. L'horrible vieille dame fit marche arrière et alla dans le salon en chantonant du Elivis Presley.
Aphrodite se leva et partit dans la cuisine et se mit au fourneau.Comme elle cuisinait très bien elle trouva un moyen de transformer sa purée en petit croquant à la pomme de terre.
-Madame Lyncé?Votre repas est prêt!
La vieille roula jusqu'à la table et se mit à manger sans attendre Aphrodite.
-Dis-moi,Aphrodite pourquoi tes parents t'ont-ils donné le nom ridicule qu'est Aphrodite?
-Je n'ai jamais connu mes parents madame,je ne sais donc pas pourquoi.
Aphrodite se jeta vers la fenêtre...On l'épiait.
-Qui a-t'il Aphrodite?Tu n'es tout de mêma pas paranoïaque?
-Moi?Non pas du tout?J'avais juste l'impression qu'on nous espionnait.
-Viens donc à table.
Aphrodite pris une chaises s'assise,mangea et alla au lit...Enfin pas toutes à fait comme sa chambre se trouvait au grenier elle monta sur le toit.
Un homme se trouvait encore face à la mer.
Aphrodite s'endormit sur le toit.
Le lendemain elle descendit pour préparer le déjeuner de Mme Lyncé qui dormait encore.
Quand se fut finit Aphrodite prit sa veste et partit au travail.
Aphrodite venait juste d'arrêter l'école et s'était mise au travail.Un travail qu'elle trouva à la bibliothéque municipale.
Elle y entra et vit son patron qui était adorable et qui lui avait préparé un thé.
-Mon petit Lotus?Je t'ai préparée un thé,je me suis douté que ta vieille sorcière ne t'aurais pas laisser cinq minutes à toi pour manger un petit peu.
-Merci M.Higoshua.
Et Aphrodite se mit au boulot.Quel plaisir de travailler dans un endroit silencieux...C'était l'un des seul endroit où elle se sentait bien...
En fin de matinée un premier client entra dans la bibliothèque.
-Bonjour mademoiselle,je cherche une certaine Aphrodite.
-Connais pas.
Aphrodite continua de ranger les livres...
-Mais...Mais...Mais c'est vous!La fille d'hier soir!dis Marc.
-Mon étoile filante?Qui te parle?demanda M.Higoshua depuis son bureau.
-Ce n'est rien monsieur,excusez-moi de vous avoir déranger.
-Ce n'est pas grave!
Aphrodite fit signe à Marc de se taire.Il se mit à chuchoter:
-Je t'ai trouver du travail.
-Veuillez vous taire je vous ai dis que je ne vous parlerez plus!
-Mais...
-J'ai déjà un travail!
-Dans la plus grande bibliothèque du pays!Dans la capitale!
-Je suis bien ici avec monsieur Higoshua.
-Mais vous n'êtes pas bien avec Mme Lyncé!
-Si je suis très bien!Lâchez-moi!
Et là Marc prit Aphrodite dans ses bras et l'embrassa.Elle le repoussa de sa main et le regarda pour la première fois et là...
Ils se marièrent et eurent deux enfants...

FINQuoique...Je suis pas sûr je vais peut-être faire une suite...

C'est bien mais il  y a beaucoup trop de répétition !

  Automnale

L’été s’en est allé aux dernières vendanges.
Chaque soir le soleil se meurt un peu plus tôt.
Le bleu du ciel pâlit. Le merle et la mésange
Ont déjà déserté la fontaine aux oiseaux.

Le grand chêne attristé laisse pleurer ses feuilles
Que le vent plus hardi conduit à leur trépas.
Elles ont recouvert le sol qui les recueille
D’un tapis mordoré qui craque sous les pas.

L’abeille ne boit plus au calice des roses.
Le papillon de mai ne s’éveillera pas. Le jardin fatigué paresse, se repose,
Avant que d’affronter décembre et ses frimas.

L’hirondelle a rejoint des aurores lointaines.
La fumée, sur le toit, danse au rythme du vent.
Quand la brume du soir emprisonne la plaine,
Le vol des souvenirs s’alanguit doucement.

Certes il y en a des répétitions...Mais je pouvais pas marqué grand chose à la place...Tu as tout de même raison...

One piece . (By Funnymusic)


Partons pour ce voyage

Qui n'était que mirage

Hâtons-nous Sunny,

Et quittons ce pays

Nous sommes de vrais pirates

On passeras nos obstacles

Pour vaincre nos frayeurs

Et devenirs les meilleurs

Allez,Mugiwaras !Ne le regrettons pas !

Sans aucune trêve

Ont se bats pour nos rêves

Gagner de l'or

Et devenirs plus forts

En parcourant les mers

Et explorant les terres

Auparavant,ont leur a déclarer la guerre

A ce gouvernement mondial

On a juste voulus cette bataille

On la gagnera et ont le trouvera

On le trouvera ce fameux trésor

Nous sommes assoiffés d'or !

On trouvera le One piece

Vice de tout les vices !

Et je serait le seigneur des pirates

Et pour cela je vais me battre !

Alors ?